1. Pas de culotte sous les aveux


    Datte: 06/12/2025, Catégories: #psychologie, #drame, #érotisme, #policier, #rencontre, #regret, #confession, #personnages, #libertinage, #lesbienne, #domination, #Voyeur / Exhib / Nudisme, #Voyeur / Exhib / Nudismeitionniste, #vidéox, #lieudeloisir, #lieupublic, Auteur: L'artiste, Source: Revebebe

    ... Vérifie par toi-même. Et montre-moi… ce que tu as fait à Sandrine.
    
    Le regard de Gabriel changea. Une nuance plus sombre, plus affamée. Sa bouche trouva celle de Charlie avec une douceur brutale. Pas une attaque. Une prise. Ses mains frôlèrent ses hanches avant de découvrir la peau nue sous le tissu. Elle ne protesta pas. Mieux : elle écarta les jambes.
    
    Ses doigts glissèrent entre ses lèvres. Mouillée. Déjà.
    
    — Tu aimerais savoir, murmura-t-il.
    — Toujours. Je suis flic.
    
    Il la plaqua contre un vieux tronc couché dans le sable, un bois lisse poli par les marées. Sa main sur sa gorge. Pas de pression. Juste la promesse.
    
    Il se pencha. Sa langue descendit le long de sa clavicule, de ses seins, de son ventre, et il s’agenouilla. Il lécha. Aspira. Charlie se cambra. Un soupir, rauque. Il la bouffa comme on mange pour survivre. Lenteur d’abord. Puis frénésie. Elle était sur le point de jouir. Elle ne voulait pas. Pas déjà.
    
    Elle le repoussa avec un soupçon de défi dans le regard. Il se redressa, ouvrit son pantalon. Il était aussi dur qu’une menace. Longuement, elle le suça, les yeux plantés dans les siens. Pas une soumise. Une maîtresse qui jouait l’innocence.
    
    Puis elle dit :
    
    — Baise-moi.
    
    Il la prit d’abord debout, une main sur sa hanche, l’autre derrière sa nuque. Elle sentit chaque millimètre la remplir.
    
    — Plus fort, gémit-elle.
    
    Il cogna profond. Régulier, brutal. Ses seins ballottant à chaque poussée, Charlie haleta. Le sable collait à ses cuisses, ...
    ... à ses fesses, à sa bouche ouverte sur un cri qu’elle étouffait.
    
    Puis elle se retourna, jambes écartées, dos cambré. Elle s’offrit sans réserve, regard jeté par-dessus l’épaule. Il rentra en elle d’un coup sec. Elle jura.
    
    — Putain, ouais… Là.
    
    Il la tenait par les hanches et la pilonnait comme un manque. Comme si elle seule pouvait le faire respirer. Ses couilles claquaient contre sa peau, son souffle se faisait désordonné. Charlie perdit pied un instant, puis se redressa, bascula sur lui. Elle voulait le dominer à son tour. Le chevaucher. Ne plus être la licorne, désormais.
    
    Elle s’empala avec une maîtrise presque cruelle. Elle se frotta, gémit à voix basse, animale, magnifique. Il l’attrapa par les seins, les serra, les mordilla. Elle rit, un rire cassé, et jouit sans un cri, secouée de spasmes extatiques.
    
    — Encore, souffla-t-elle.
    
    Il la reprit. Partout. Jusqu’à ne plus savoir qui tenait qui. Profondément. Avec frénésie. Corps salés, poisseux, parfaits. Et enfin, il gicla dans un râle rauque, visage tordu de plaisir. Elle sentit la chaleur, le jet. Et elle sourit.
    
    — T’as pas tout dit, Gabriel.
    
    Il haleta, les yeux flous.
    
    — Ce n’est pas toi qui l’as tuée, mais tu sais qui l’a fait, hein ? Tu sais, insista-t-elle.
    
    Il la regarda. Hésita. Charlie se pencha, l’embrassa langoureusement, puis se releva. Elle remit sa robe, les jambes encore tremblantes.
    
    — Tu vas me le dire, Gabriel. Et crois-moi : tu vas le faire très bientôt.
    
    Elle repartit seule. ...
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