COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (10/10) - Histoires de Sexe

COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (10/10)

... mais là, disons deux cents personnes divisées par deux, ça fait cent.

Je vais y laisser ma vie.

Heureusement de la hauteur où je suis, un verre à la main, je vois déjà des mains qui s’égarent sur les culs des voisines alors que la femme de l’autre côté semble être sa légitime.

• Je vous rappelle que ce sont les deux seuls mots que nous avons le droit de dire en Allemand après la convention tenue dans cette salle par vos pères ou mères il y a plus de vingt ans.

Nous nous savons écoutés car de plus en plus puissant et le Français nous permet de brouiller les pistes avec ceux qui refusent la résurrection du national-socialiste comme notre fureur Adolphe l’avait envisagée.

Tous ici, sommes des descendants ou des alliés des SS, que nous avons secrètement réavivés.

Tout a commencé la plupart de vous n’étaient pas nés, lorsque j’ai été chargé en tant qu’architec de reconstruire un quartier de Berlin que les ennemis de notre fureur avait détruit.

Par chance, j’avais gardé les papiers de mon grand-père, c’est lui qui avait construit ce bâtiment.

Un jour Frist, mon ami ici avec nous, m’a appelé, en enlevant un tas grava avec son équipe, ils avaient trouvé une entrée menant vers le centre de la terre.

Nous avons continué à tout enlever jusqu’à une porte de fer.

J’ai cherché dans les archives et ça m’a permis de découvrir ce chef-d’oeuvre architectural, mon grand-père était très fort dans le béton.

J’ai reconstruit un hôtel nous servant de couverture et vous voici ici dans la salle du nouveau national-socialiste.

Un mouvement de foule, une femme que je connais bien, est là alors que je la croyais à des centaines de kilomètres…

Voilà, cinq chapitres, pas de chance, il va falloir attendre un peu pour savoir qui se trouve au milieu de ces gens venus d’un autre âge.