1. La duchesse de Fougeroles


    Datte: 29/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds

    ... dans un baiser langoureux et tendre.
    
    Quelle heure était-il ? Nul ne le savait. En tout cas chacun se sentit las.
    
    Bertrand avait terminé son bain, il en sortit pour se sécher, approchant de la cheminée encore ardente. Les charbons rougeoyants dans l’âtre noir de cendre et lui rappelaient qu’il n’avait pas encore eu sa dose. En effet, la toilette intégrale venait de réveiller son corps tout entier, prêt à reprendre du service.
    
    Puis, voyant que les autres somnolaient dans le lit à baldaquin, le valet prit la liberté d’éteindre toutes les bougies, en les soufflant une à une. Une fumée blanche et odorante envahit la pièce devenue soudainement plus inquiétante.
    
    Lorsque le valet posa un petit bougeoir sur la table de chevet, Les corps inanimés se caressaient sans force, à peine protégés par les draps froissés. Mais toujours sur ses gardes, Violaine l’observa, les yeux mi-clos en lui adressant un sourire énigmatique.
    
    D’un seul coup d’œil, ils comprirent que la nuit était loin d’être terminée. En bon mâle dominant, Bertrand fit de la place pour se coller à sa maîtresse, écartant les éventuels prétendants.
    
    À son tour Manon, se mit juste derrière lui, plaquant son sexe humide contre les fesses tendres du bel étalon. "Et moi alors, personne n’y a pensé…" se dit-elle arborant une moue enfantine.
    
    — On oublie le petit personnel duchesse ? Susurra le valet en mordillant le lobe de l’oreille de celle-ci.
    
    — Mais je… Répondit Violaine complètement désarçonnée
    
    — ...
    ... Tu vas lui manger son petit abricot d’accord ! Ordonna Bertrand sur un ton qui n’encourageait en rien à désobéir.
    
    Langoureusement, la bonne ne se fit pas prier et se mit en position. Les deux jambes pliées de part et d’autre de la tête de sa maîtresse, ne laissant à celle-ci que le choix de s’occuper de son intimité si proche.
    
    Déjà, la duchesse sentit l’odeur maritime et musquée à quelques centimètres de ses narines dilatées. De son côté Manon ajusta son chignon en un tour de main et descendit très lentement encore plus près sur les lèvres déjà entrouvertes de madame de Fougeroles.
    
    Le nez de Violaine vint presser le petit bouton rougeoyant de désir. Manon en profita pour se frotter sur l’appendice nasal de sa bienfaitrice, en se dandinant légèrement.
    
    Encore toute étourdie par cette nouvelle expérience, la duchesse finit par plonger sa langue dans la fente entrouverte obéissant à son instinct de femme. Elle savait pertinemment qu’il fallait prendre son temps et surtout lécher en formant de savants dessins sinueux, tout en alternant avec des aspirations mesurées.
    
    Malgré sa faible expérience en la matière, on peut dire que la bonne semblait grandement apprécier les prouesses de la maîtresse débutante, à entendre ses râles plaintifs qui montèrent crescendo.
    
    Aussi, au bout d’un moment les deux valets passifs sentirent qu’ils étaient de trop dans cette partie désormais jouée à trois. Ils se levèrent en bâillant, et rejoignirent la porte du fond en la fermant ...
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