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La duchesse de Fougeroles
Datte: 29/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds
... que baiser le cul de la duchesse avait quelque chose de très jubilatoire pour cet homme insignifiant le reste du temps. Le valet apprécia chaque va-et-vient au rythme qu’il imposait. Ses deux prunes poilues, toutes pendantes, tapaient bruyamment contre les fesses molles et rebondies. Faut-il préciser que Violaine de Fougeroles se retrouvait comblée, dans tous les sens du terme. C’était la première fois qu’elle se sentait pleine dans son intimité, recevant un cadeau brûlant déformer ce chemin intime trop souvent décrié par la gent féminine trop prude. Sans même pousser un cri, la duchesse pleurait de bonheur, inondant çà et là de petites larmes son oreiller confortable. Manon vit briller ses yeux et lui caressa la joue du revers de la main. — Comme vous êtes émue ! Chuchota-t-elle tendrement. Telle une jeune fille vierge perdant sa vertu, Violaine savait désormais que son valet allait peut-être devoir remplir d’autres obligations à l’avenir. Dorénavant son jouet de pacotille resterait à jamais posé sur la cheminée. L’expérience dont elle savourait chaque seconde venait de bouleverser sa vie intime. — Baise-moi ! Baise-moi de toutes tes forces ! Ordonna-t-elle dans un rugissement étouffé par le traversin qu’elle empoignait à pleines mains. À cet instant, Manon eût un sourire lubrique et fixa les yeux de Bertrand qui comprit le message. Le valet se retira de la corolle écarlate, décidée à ne pas se refermer sous l’effet des trop nombreuses pénétrations ...
... répétées. Pendant que la duchesse se trémoussait, un autre couple se forma à côté d’elle. Bertrand poussa Manon sur le lit avec une certaine violence. La bonne se retrouva sur le dos. Elle cracha sur ses doigts et lubrifia son petit trou rempli d’excitation. Volontairement Bertrand la pénétra d’un seul coup. Comme à son habitude, sa partenaire aimait sentir la douleur pendant l’acte. Le mélange du plaisir et de souffrances physiques correspondait, selon elle, à une alchimie parfaite. Toujours les fesses en l’air, à côté d’eux, la duchesse frustrée comprit le manège. Elle roula sur le côté et regardait avec envie les deux amants parfaitement accordés. — Espèce de salaud ! Cria-t-elle et se levant d’un bond. De rage, elle se leva et partit en direction d’une armoire en chêne massif. Le miroir renvoya le reflet de son corps. Sa fente luisante lui fit honte sur le moment, sans compter qu’une douleur aiguë commençait à l’irradier au niveau de son petit œillet à nouveau rétracté. Ce malaise passager ne fit que rajouter des ingrédients épicés à sa rage grandissante. "On ne traite pas une duchesse de cette façon", se dit-elle, tout en saisissant une tige gainée de cuir noir. Elle testa la souplesse de la cravache en la pliant prestement, puis revint vers les tourtereaux trop occupés dans leurs ébats charnels. Tandis que Manon se faisait pilonner comme jamais sur le bord du lit, la duchesse caressa la croupe en mouvement du beau mâle avant d’intervenir. La cravache ...