1. Camille. (11)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... deux sans problème. Elle me regarde, enfin, elle regarde mon pieu ressortir luisant de son jus. Je lui claque ses fesses. Elle me dit :
    
    — Ô, oui. J’adore.
    
    Alors, je ne prive pas. Je lui balance des tannées dantesques. J’en ai vite mal aux mains. Son petit anneau palpite. Je me recule et l’encule d’un coup.
    
    — Salop... OUIIII. TROP BON.
    
    Mais je ne suis pas un surhomme. Je lui dis que je ne vais pas tarder. Elle se retourne et me branle en sortant sa langue. Je jouis à grands flots sur sa langue rose et dans sa bouche. Elle me sourit. Elle me finit en me suçant. Elle joue avec mon sperme et l’avale.
    
    — Délicieux... Tu restes ici.
    
    Nous avons baisé toute la nuit et c’est vers midi que nous avons refait surface. Elle est belle avec ses seins arrogants et ses tétines qui pointent. Je lui claque ses fesses.
    
    — J’ai le cul en feu, me dit-elle en rigolant. Tu as faim ?
    
    — Oui, on va sortir et manger italien.
    
    Après une douche réparatrice, elle s’aperçoit que ma bite a rougi. Elle prend un pot de crème et m’en enduit sur les bourses et ma verge.
    
    — Remède sénégalais. Il faudra rincer d’ici deux heures.
    
    Elle part s’habiller d’un minishort en coton blanc et d’un tee-shirt, blanc également. C’est une charmante femme de 40 ans qui m’accompagne chez moi. Il faut que je me change. Elle visite ma maison et reconnaît que je suis un mec bien. Tout est rangé, pas de bordel, même dans ma chambre. Je suis sous le charme d’une jolie négresse. Son sourire est éclatant, ...
    ... son regard mutin, sa démarche féline. Je la prends dans mes bras, ses tétons me transpercent ma poitrine. Je l’aime déjà.
    
    On est dans mon restaurant italien préféré le "BARISTO". Je demande au serveur, qui me connaît fort bien, de m’amener à une table discrète et calme. On est placé à une table au fond du restaurant. Elle me fait face. Avec 20 ans de moins, je la confondrai avec Gény. On commande tous les deux un vin blanc liquoreux en apéritif, des lasagnes accompagnées d’un Chianti.
    
    Le repas se passe bien, en digestif, on prend un limoncello. Elle me prend la main.
    
    — C’est la première fois que je mange dans un resto aussi classe.
    
    — Il ne tient qu’à toi si tu veux connaître d’autres endroits bien plus classes.
    
    — Comment ?
    
    — En venant vivre chez moi. Il y a tous les avantages. Le gîte, le couvert. Tu sais si ma maison est si bien entretenue, c’est grâce à ma femme de ménage, mais elle s’en va à la retraite, donc la place est vacante. Je te paierais un peu moins qu’elle, 1000 euros par mois ?
    
    — Ouf, ça va vite. Tu es un homme franc et honnête. Je ne sais pas pourquoi, mais quelque chose m’attire en toi. J’hésite.
    
    — Je sais que cela doit être dur pour toi de tout plaquer pour un type que tu ne connaissais pas il y a deux jours.
    
    — J’accepte pour mon bonheur et pas que le mien.
    
    Elle me saute au cou et m’embrasse passionnément. Je suis le plus heureux des hommes. On continue à s’embrasser quand on est interrompu par le serveur qui nous apporte deux ...