1. Camille. (11)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... intime avec Camille. Une Maîtresse tout comme vous l’avez été avec Geneviévre. Je les ai laissés pour qu’elle discute entre elles. Vous seriez surprise de leur dévotion envers moi. Elles ont une confiance aveugle.
    
    — Non, je ne peux pas...
    
    — Vous ne pouvez pas, et pourquoi pas.
    
    Je la prends par la main et l’entraîne jusqu’à ma voiture. Elle suit sans rechigner. On va chez moi. Une fois les 15 minutes de trajet effectuées, je l’emmène dans ma cave. Elle reste sans voix.
    
    — C’est ici que je vais les dompter, en faire des filles prêtes à tout pour assouvir le moindre de nos fantasmes. Pas de fouet, juste le paddle, vous connaissez ?
    
    — Mais je n’ai pas de salle pour ça !
    
    Je lui montre la chambre et les tenues qu’elles ont portées cet été. Elle comprend que le dressage a déjà commencé. On remonte dans mon salon. Elle me réclame un alcool fort.
    
    — Alors ?
    
    — Je ne sais pas, je ne sais plus.
    
    Je lui tends un trousseau et lui dis qu’elle aura accès en permanence à ma cave. Qu’elle pourra utiliser tous les agrées sans restriction et que l’on ne sera pas trop de deux pour dresser ces furies. Je lui ressers un verre.
    
    — C’est d’accord, mais quand allons-nous les chercher ?
    
    — Normalement, dimanche matin, mais si vous voulez, on peut y aller demain.
    
    — Non, laissons votre amie les évaluer. Va pour dimanche. Vous me ramenez ?
    
    On est très vite chez elle. Elle m’invite à la suivre jusqu’à la chambre de sa fille.
    
    — Je sais où elle cache ses jouets.
    
    Elle ...
    ... monte sur une chaise et descend une boîte à chaussures de dessus de l’armoire. Il y a toute une collection de godes, de menottes. Je reconnais même les deux plugs. Petite coquine.
    
    — Confisquez-lui. Elle n’aura plus le droit de se faire jouir sans votre permission. Vous l’attacherez avec ces deux paires de menottes au montant du lit.
    
    On ressort de la chambre. Elle entre dans la sienne en me disant de faire comme chez moi en l’attendant. Je vais au salon et me sers un whisky. J’entends l’eau d’une douche, puis des pas. Elle a changé de boubou, elle est magnifique.
    
    — On pourrait se tutoyer, me dit-elle, maintenant que l’on est intime ? Moi c’est Badgi.
    
    — Moi c’est Hervé, lui répondis-je en me levant.
    
    Je m’approche lentement, elle me regarde intensément avec ses grands yeux noirs. Je tire vers le bas son boubou. Elle est nue. Je l’embrasse tendrement, elle ne l’entend pas de cette façon. Elle se jette littéralement sur moi, elle me mange la bouche. Elle enlève ma chemise et mon pantalon.
    
    — Hummm, qu’elle est belle rasée et bien dure comme je les aime.
    
    Je la pousse gentiment sur le canapé. Elle se retourne en position de levrette. Elle regarde ma tige.
    
    — Viens, prends-moi comme une salope de mère qui a baisé avec sa fille. Fous-la-moi bien profond, je suis prête.
    
    En bon prince charmant et lui fourre ma bite au fond de sa grosse chatte qui dégouline. Putain que c’est bon. Aucune comparaison avec Gény n’est possible. C’est large que l’on peut y rentrer à ...