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À peine quelques années de plus
Datte: 26/11/2025, Catégories: #confession, fh, fplusag, couple, cinéma, revede, Oral pénétratio, Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
... découle, cela fait trop pour moi, tu comprends ? Par exemple, je ne pourrai pas subvenir à vos besoins, je suis encore dans les études. — Je ne te demande pas cela. Ça fait des années que je m’occupe de mon fils seule, son père n’a jamais été présent. Nous ne vivons plus au dix-neuvième siècle où les hommes entretenaient les femmes. Je suis une grande fille, tu sais ! Il semblait que la conversation lui apparaissait comme, un petit peu, trop sérieuse. Pendant le temps qu’avait duré notre échange, elle s’était redressée sur moi et m’avait enjambé. À présent, elle me léchait l’abdomen. à califourchon sur moi, elle commençait à descendre vers mon entrejambe — Tout ce qui est matériel, nous n’avons pas à nous en préoccuper. Tu me plais vraiment, Eliott, je voudrais que tu restes, s’il te plaît… La sensation qui s’empara alors de moi à ce moment-là, grâce à ses soins, finit de me convaincre. En tant que cadre supérieure dans sa société, elle participait à des cocktails professionnels. Elle savait rire et sourire en cachant la plupart de ses rides naissantes, ces petits plis en étoile autour des yeux. Et sa poitrine était encore très vaillante. Elle faisait beaucoup de sport pour garder son corps en forme. Au début, pour essayer, je venais avec elle. Elle me présenta comme son assistant, mais bientôt, elle refusa que je l’accompagne. Elle perdait en crédibilité auprès de ses partenaires. L’un dans l’autre, ce n’était pas une si grande perte, ces rendez-vous ...
... mondains étaient très ennuyants. Je réalisais alors que j’étais loin de la vie d’adulte dont j’avais rêvé. Mais le reste de notre vie à deux me plaisait. Cela dura cinq ans, au total, avant que nous décidions d’arrêter. Pendant ces cinq années, pas une seule fois je ne lui vis un brushing ou des vêtements négligés. Mais cette existence motivée par la perfection était très rigoureuse, et elle avait régulièrement besoin de se lâcher, et je compris vite que ma présence lui servait à ça. Et à mes yeux, c’était un honneur. Dans ces moments-là, elle était un vrai fauve. Aussi fofolle qu’une minette de dix-huit ans. Personne ne l’aurait reconnu. Mais moi, je savais qui elle était, au fond, et cela ne me surprenait pas. J’aimais la Virginie rangée, et j’aimais son antonyme dément. Elles étaient toutes aussi charmantes, l’une que l’autre. Quand je la voyais ainsi, à marcher vers moi à quatre pattes, en robe et talons hauts, sur le tapis du salon, toutes mes hésitations s’envolaient et nous partions dans notre douce folie. Nous avions confié son fils à une de mes amies qui servait de baby-sitter et nous avions toute la soirée pour partir dans notre délire. C’est là où son expérience donnait tout son sens. Par pudeur, je ne vous raconterai pas tout, mais sachez que ses talents sexuels étaient fabuleux. Sa spécialité était la fellation, mais je devins moi aussi un adepte de la lèche-minou. Il fallait avouer que j’avais un excellent professeur, qui m’apprit à aimer ça, et à le faire à la ...