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À peine quelques années de plus
Datte: 26/11/2025, Catégories: #confession, fh, fplusag, couple, cinéma, revede, Oral pénétratio, Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
Parfois, l’âge accroît considérablement la beauté d’une femme. J’avais rencontré Virginie lors d’un cours de théâtre. Ce dernier était uniquement l’occasion d’acquérir un peu de confiance en moi et de lâcher prise. La rencontre que je fis alors dépassa toutes mes espérances. Mon regard fut, dès le premier cours, attiré par elle. On m’avait éduqué à ne pas flasher sur une femme plus âgée que moi. Du moins, à passer outre cette attirance. Mais à mes yeux, elle était la plus jolie de toutes les participantes. Pourtant, il y avait aussi des minettes parmi elles. J’aimais sa coupe au carré, et sa petite tenue de mère rangée, encore sexy et mince. L’âge lui conférait même un charme supplémentaire. Très athlétique et svelte, elle s’entretenait, visiblement, et cela ne me déplaisait pas. Un cours en particulier titilla mon excitation. Je me souviendrai toute ma vie de cet exercice de l’ascenseur. Les participants se succédaient deux à deux dans cet espace réduit et imaginaire en campant des personnages variés. Je fus le premier à monter sur scène. Une personne se leva juste après pour me rejoindre sur scène. C’était Virginie. Elle semblait ne pas vouloir laisser sa place à quelqu’un d’autre. — Vous allez au combien ? demandai-je, le doigt pointé vers les boutons des étages, une fois qu’elle m’eut rejoint sur scène. — Au cinquième. Je vais me faire défoncer la chatte. Tout le monde se mit à rire dans le public. Moi, j’étais interloqué. On pouvait dire ça sur scène ...
... ? Mais j’étais surtout troublé qu’elle me le dise à moi, en particulier, comme si elle voulait me faire passer un message. La discussion gagna encore en intensité, et en intimité jusqu’à ce que mon personnage doive sortir de l’ascenseur, pour laisser sa place à un autre. La liberté et le ton provocant de Virginie me fascinèrent immédiatement, alors que, par politesse, je ne me serais jamais permis une telle parole. Comme tant d’autres choses, d’ailleurs, qui allaient pourtant suivre. Comme j’étais un jeune homme très téméraire, et que la séance m’avait allumé, je décidai de rentrer en contact, le soir même, de manière plus « explicite » avec elle. Heureusement, nous étions au vingt et unième siècle et j’avais son WhatsApp. En rédigeant mon brouillon de message, je cherchais une approche intéressante. Une diva comme elle me semblait inaccessible. Elle devait d’ailleurs préférer les hommes matures et stables. Pourtant, je ne rêvais plus que d’elle et de son corps, que j’aurais pu couvrir de baisers. Je voulais la complimenter pour avoir dit cette chose sexuellement provocante sur scène. En pensant que j’allais exprimer mon désir à une femme de plus de dix ans mon aînée, mes joues flambaient d’un sang battant. Mais je parvins à aller jusqu’au bout. Mon imagination nerveuse me projetait même dans le futur avec elle. La plupart des situations possibles avec elle m’auraient plu. Certaines plus que d’autres, il faut avouer. Mon index trembla lorsqu’il se posa sur la ...