Minitel 05 - Histoires de Sexe

Minitel 05

... les enfants et manger seuls en amoureux?

- Tu es gentil mais j'ai mal à la tête, ils m'ont fait crier toute la journée...

- Prends des cachets cela passera d'ici ce soir...

- J'ai déjà pris. N'insiste pas s'il te plait. J'ai encore deux machines à étendre...

Elle n'est pas maquillée et porte des vêtements qui ne mettent pas son corps en valeur. Pourtant j'ai envie de lui faire l'amour. Mais je la connais. Inutile d'insister. Le mot machine m'inquiète parce qu'elle risque de s'apercevoir qu'il me manque deux slips.

Je repars dans le salon. Nous mangeons avec les enfants. Elle va se coucher. Je reste seul devant un film débile. J'appréhende le lendemain au bureau.

oooOOooo

Régis me téléphone sans passer par ma secrétaire. Il est laconique.

- Ce soir chez moi...

Nous ne nous voyons pas de la journée. Je dicte mon courrier à Monique. Elle est assise devant moi. Jambes croisées pour mieux écrire. Elle a un maquillage prononcé et des bas ou des collants fumés. Une jupe très courte et un pull moulant. Ses formes généreuses sont libres en dessous. Je suis pratiquement sûr qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. En tous cas je sais qu'elle n'a pas de slip. C'est vrai qu'elle est pas mal. Brune cheveux longs, visage fin, lèvres bien dessinées. Une belle poitrine encore ferme et une taille fine. Femme divorcée en train de vivre une seconde jeunesse avec un jeunot?

- Monique?

- Oui Monsieur?

- Cela se passe bien avec le nouveau?

- Vous parlez de ...

... Régis?

- Bien sûr..

- Cela se passe très bien Monsieur...

- Il semble gentil en effet et efficace..

- Oui Monsieur... Tout le monde l'adore...

- C'est bien... Vous savez que vous serez chargée de son courrier...

- Cela ne me dérange pas Monsieur, ne vous inquiétez pas...

- Alors c'est bien...

Je regarde son cul se dandiner quand elle quitte mon bureau. Je suis sûr qu'elle ne porte rien sous ses vêtements. Comme moi. A-t-elle encore son sperme en elle?

A dix-huit heures je sonne chez Régis la gorge nouée et l'envie au ventre. Il ouvre torse et pieds nus. Il est poilu. Des poils noirs et frisés lui couvrent le ventre pour disparaitre sous le pantalon de jogging noir. Il me laisse entrer et ferme la porte à clefs.

- A poil

- Ici comme ça...

Une baffe violente.

- A poil tout de suite et totalement.. Ou alors tu te casses... Et tu assumes.

Ma joue me brûle. Je me déchausse, enlève ma veste et ma cravate, puis c'est au tour de la chemise de rejoindre mes précédents vêtements sur le sol du couloir. J'ouvre mon pantalon. Je le baisse. Bien sûr je ne porte pas de slip.

Je me penche pour ôter mes chaussettes. Il me met une claque sur les fesses

- Garde les. T'es ridicule avec ces chaussettes noires... Tiens remets tes chaussures comme ça tu seras vraiment ridicule...

Je remets mes mocassins noirs. Il y a une glace. Je suis vraiment ridicule comme ça. Pas de poils sur le torse. Un peu sur le pubis et sur les jambes. Un corps fin, des fesses ...