Minitel 05 - Histoires de Sexe

Minitel 05

... Chaque fois que tu banderas tu auras droit au même traitement... Alors je te conseille de te branler avec ma bite dans le cul et de jouir vite...

J'ai obéi en pleurant. Cela n'a pas duré une minute. Dès que j 'ai toucher ma queue, elle est devenue toute dure et à peine quelques mouvements de poignets on suffit pour me faire atteindre un orgasme fantastique. J'ai joui en serrant mon cul et la bite de Régis.

- Tu vois que tu aimes salope... En plus éjaculateur précoce! T'es un gâté toi!

Il m'a libéré brusquement, m'arrachant un nouveau cri de douleur. Puis il m'a écrasé le visage sur le sol dans mon sperme. J'ai du tout nettoyer avec ma langue. J'étais anéanti. Quand il m'a relevé la tête par les cheveux pour me mettre sa queue sale contre mes lèvres, j'ai ouvert la bouche sans rien dire, et j'ai lavé avec ma langue toutes les traces de merde le long de sa bite très dure.

- Baisse la tête et regarde le sol. J'ai pas fini avec toi.... Ici c'est moi le patron...

Il s'est débarrassé de son pantalon qu'il a laissé sous mon visage.

- Tu restes comme ça et tu attends...

Il est parti me laissant le cul endolori et le visage couvert de larmes. J'avais le goût un peu sucré de ma merde dans la bouche et des traces de mon sperme sur le visage. J'avais envie de partir. C'est souvent le cas quand j'ai joui. Mais je n'ose pas bouger. Quelque chose de plus fort que moi me pousse à lui obéir.

Je l'entendais téléphoner, parler tendrement à son interlocuteur.

Mon anus ...

... est en feu mais je n'ai pas saigné malgré cet enculage. Il n'y avait aucune trace de sang sur le sexe de Régis. Je me demande ce qu'il est en train de faire. J'ai encore envie de sa queue dans ma bouche.

Pendant un moment j'imagine le visage effaré de ma femme si elle me voit dans cette position. J'ai honte de mes pulsions. Honte de ce que je fais.

Brusquement il est là. Debout à coté de mon visage. Bien sûr je ne vois que ses pieds et ses mollets poilus. Je devine qu'il est nu. Moi je porte toujours mes chaussettes et mes chaussures de ville. Il se met à genoux devant moi. Il a la queue tendue vers ma bouche. Elle mesure pas loin de vingt centimètres avec un gros gland brun.

- Ouvre la bouche... Lève la tête...

Il me regarde. Il tient dans sa main une balle en mousse un peu plus petite qu'une balle de tennis de couleur jaune clair. Je reste devant lui bouche grande ouverte. Il m'enfonce la balle dans le palais. La mousse est souple. La balle entre sans difficulté pour épouser parfaitement mon palais. Mais je ne peux plus fermer la bouche. Il a pris soin de l'enfoncer au-dessus de ma langue. Impossible de retourner ma langue pour pousser l'obstacle.

- Maintenant tu peux crier autant que tu veux... Bien sûr tu peux arrêter le jeu à tout moment... Pour cela il suffit que tu fasses un cercle avec ton pouce et ton index... De n'importe quelle main... Tu m'as compris?

Ce qu'il vient de dire me soulage. Tout cela reste un jeu. Un jeu de soumission et de domination ...