1. Une chronique rurale


    Datte: 21/11/2025, Catégories: #chronique, #société, #vengeance, #adultère, #couple, #voisins, fplusag, cocus, grosseins, fête, entreseins, Oral Humour Auteur: Cars76, Source: Revebebe

    ... abondance sur la toison fournie de Suzie tout émoustillée par ce qu’elle venait de vivre. Il faut reconnaître qu’après ce jour-là, les rapports de voisinage ne furent plus tout à fait les mêmes.
    
    Mais revenons plutôt à la soirée des associations à laquelle Jacques et Martine avaient été conviés. Briefé par son épouse, Jacques avait promis de jouer profil bas même si les tentations furent nombreuses. En effet, toutes les associations de la commune avaient participé de près ou de loin à la soirée. Le club de gymnastique assurait le service, alors que les chasseurs géraient la buvette. C’est tout naturellement que la fanfare locale avait animé la soirée qui a duré jusqu’au petit matin.
    
    Jacques, en bel homme qu’il était resté, avait notamment été l’objet de convoitise de deux jeunes gymnastes qui auraient pu être ses filles et qui s’étaient lancé le défi d’accrocher un « vieux » à leur tableau de chasse. Elles lui avaient tourné autour toute la soirée, ne manquant pas une occasion de lui glisser une parole évocatrice dès lors que Martine n’était plus dans les parages. L’une des deux jeunes filles était même la fille de la buraliste. « Aussi chaude que sa mère » s’était-il mis à penser. Il l’aurait bien culbuté elle aussi. Il faut dire que ses longues jambes galbées et son petit cul bien ferme avait fait bander Jacques à maintes reprises dans la soirée. Il avait même pensé devoir se soulager en solitaire afin d’éviter l’outrage.
    
    Martine avait fini par voir clair dans ...
    ... le jeu des deux jeunes effrontées et avait mis fin au jeu de séduction en convoquant fissa les deux prétendantes à qui elle a cru bon de faire la morale.
    
    Jacques avait ensuite rejoint Martine pour une série de slows qu’il n’avait pas pu lui refuser. Elle s’était collée à lui comme pour montrer qu’il lui appartenait de façon exclusive. Mais le clou du spectacle avait eu lieu peu après minuit. En effet, après le discours prononcé par Monsieur le Maire, du bruit s’était fait entendre venant des cuisines. Un attroupement et une mêlée digne des plus beaux matchs de rugby s’étaient formées sous les cris de plusieurs personnes présentes. Il avait même fallu l’intervention des pompiers pour venir soigner quelques crânes ouverts et autres traumatismes divers. Mais que s’était-il passé ?
    
    Alors que le discours du Maire durait en longueur – c’est un bavard qui ne savait pas faire court – son épouse, une jeune sénégalaise de vingt ans sa cadette, avait pris la poudre d’escampette avec un jeune pompier volontaire et l’avait entraîné manu militari dans la réserve. Le jeune soldat du feu n’avait pas su résister à l’appel de sa peau sucrée et surtout à sa paire de seins bonnet D qu’elle lui avait présenté dès leur entrée dans le cagibi. Elle avait rapidement équipé le jeune homme de la protection de circonstance avant de s’empaler littéralement sur sa queue fièrement dressée et prête à toutes les turpitudes. Sa robe de soirée blanche remontée sur les hanches et les seins à l’air, elle ...
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