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Une chronique rurale
Datte: 21/11/2025, Catégories: #chronique, #société, #vengeance, #adultère, #couple, #voisins, fplusag, cocus, grosseins, fête, entreseins, Oral Humour Auteur: Cars76, Source: Revebebe
Reposant. Tel était le sentiment qui envahissait Martine au moment de rejoindre la soirée des associations à laquelle elle avait été convié avec son mari Jacques. En effet tous deux jeunes retraités, ils faisaient partie du comité des fêtes du village depuis près de dix ans. Jacques en avait même été le président pendant cinq années. Il aurait pu l’être encore si Martine ne l’avait pas trouvé un soir le pantalon sur les chevilles en train de besogner la buraliste dans la cuisine du centre socio-culturel à l’issue d’une réunion communale. Ça avait fait grand bruit à l’époque. Celle-ci s’était d’ailleurs vengée quelques semaines plus tard. Profitant de l’absence de Jacques et prétextant l’organisation d’une réunion inter-associations, elle avait fait venir chez elle Julien, le président et professeur du club de tennis. La trentaine, athlétique, celui-ci traînait une réputation de célibataire endurci. Il était également connu de la gent féminine pour être un amant de premier choix. Martine avait décidé de sortir le grand jeu et de ne rien laisser au hasard. Cheveux attachés en chignon et vêtue d’un pantalon de lin blanc, on devinait aisément la courbe de ses fesses charnues. Un chemisier à manches courtes largement échancré et mettant en avant sa lourde poitrine avait d’emblée mis en émoi son hôte du jour. Elle n’avait d’ailleurs pas mis bien longtemps à se retrouver à astiquer énergiquement le chibre longiligne de Julien. L’effet de l’apéritif avait désinhibé Martine ...
... et Julien n’avait opposé qu’une bien maigre résistance. D’habitude plutôt réservée, elle avait rapidement pris en main la situation et avait subi pendant de longues minutes les assauts du tennisman peu enclin à se ménager. Si elle n’avait plus la souplesse de ses jeunes années, Martine avait tout de même de beaux restes et nos deux amants d’un jour ont ainsi multiplié les positions et les fantaisies. Martine lui avait d’abord présenté sa grosse paire de seins qu’il avait pétri, malaxé et embrassé avant d’y glisser sa longue queue. Il l’avait ensuite honoré d’une levrette énergique alors qu’elle s’était calée à genoux sur le rebord d’un des fauteuils du salon. Ils avaient terminé leur affaire dans la véranda, leurs corps baignés par un soleil printanier. Dans un long râle de plaisir, Julien s’était totalement laissé aller sur le ventre et les seins de Martine, tout heureuse d’avoir donné tant de plaisir à un homme dans la force de l’âge. Elle estimait avoir remis les compteurs à zéro avec Jacques et avait depuis entrepris de le garder à l’œil en toutes circonstances. Elle l’avait ainsi mis en garde. La soirée des associations tombait à point et elle allait pouvoir tester les bonnes résolutions de son mari. — Si d’aventure, tu me trompes à nouveau, sache que je ne resterai pas dans un coin à me morfondre. — J’ai compris la leçon. En effet, Martine avait pris soin de filmer intégralement sa rencontre avec Julien – à son insu – et en avait montré les meilleurs moments à ...