1. Sans Consentement - Joséphine 03


    Datte: 21/11/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: meo75, Source: Literotica

    ... anges et remercia humblement sa chirurgienne. Sans aucun doute, cela allait changer sa vie, et elle trouvait Charlie si belle ; c'était incroyable! Charlie lui rappela qu'il lui faudrait du temps pour s'habituer à son reflet et qu'une toute nouvelle vie l'attendait.
    
    L'opération fut bien plus courte que la précédente. Il s'agissait essentiellement de réduire les cicatrices avant la cicatrisation totale, ce qui permettait de les rendre pratiquement invisibles, comme une coupure qui ne laisse aucune trace. Charlie avait expérimenté cette technique en secret et avait soigneusement évité de la divulguer pour en garder l'exclusivité. Svetlana cicatrisait normalement, ses paramètres de santé étaient excellents, tout se passait bien. Ses papiers seraient prêts avant sa sortie de l'hôpital.
    
    Il était temps de descendre au sous-sol, pas dans ses appartements, mais dans une partie condamnée par une lourde porte à code, qu'elle ouvrit avec un badge spécial. C'était là son univers, avec ses patients et surtout sa prisonnière. Elle enfila une combinaison en coton blanche, qui couvrait sa tête et ses yeux, mais laissait le visage suffisamment dégagé pour qu'elle puisse voir et respirer normalement. C'était l'équivalent, en blanc, de celles que portaient ses acolytes lors de l'enlèvement de Joséphine.
    
    En entrant dans la cellule, elle trouva la jeune femme endormie sur le banc de torture, son sommeil rythmé par le bruit régulier des deux machines de pénétration qui travaillaient ...
    ... sans relâche ses deux orifices. Non pas pour les élargir, surtout pas, mais simplement pour qu'elle soit pénétrée par l'idée qu'elle n'était plus faite que pour cela.
    
    Charlie prit une matraque électrique et asséna un coup violent sur la cuisse de la captive, la réveillant en sursaut et marquant une nouvelle fois sa peau déjà constellée de brûlures.
    
    — Déesse, oh ma Déesse, je suis comblée de vous voir.
    
    — C'est bien, ma salope. Est-ce que tu es bien installée ainsi?
    
    — Oui, ma Déesse, je vous remercie, ma Déesse.
    
    Sans surprise, Joséphine avait été facile à briser, aidée par quelques substances chimiques provoquant confusion, empathie et dépendance. Et surtout par la menace de la boîte à excréments où, sans aucune explication, elle avait passé trois jours terrifiants. Ce souvenir était gravé profondément dans son esprit, et elle savait que c'était la Déesse en blanc qui l'avait libérée. Elle n'avait jamais vu de visage ; tous ses interlocuteurs étaient ainsi couverts de noir, sauf sa Déesse en blanc. À force de dressage, elle lui vouait une dévotion totale : c'était elle qui avait tout pouvoir sur Joséphine, qui avait tellement souffert qu'elle ne pensait plus qu'à survivre et à obéir. Avec le lavage de cerveau chimique qu'elle subissait, elle n'avait plus acun repère.
    
    — Est-ce que ton corset est assez serré, ma chienne?
    
    — Oh, je crois, Déesse. Voulez-vous le serrer davantage?
    
    — Cela te ferait plaisir?
    
    — Oh oui, Déesse, je sais comme c'est important pour ...
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