1. Quand le corps s’éveille – Chapitre 1 : L’ami du frère de Virginie


    Datte: 20/11/2025, Catégories: Première fois Auteur: Steve40, Source: Hds

    ... dans ses yeux me fit comprendre qu’il avait eu le temps d’apercevoir ce que je venais de cacher.
    
    — Tu n’as pas à te cacher… murmura-t-il, son regard plongé dans le mien avant de descendre furtivement vers le drap qui recouvrait encore ma peau.
    
    Sa voix vibrait d’un trouble que je devinais à peine. Mon souffle était court, mon corps encore échauffé par les caresses que je m’étais offertes. Je sentais mon propre désir se mêler à l’audace du moment.
    
    — Ils sont magnifiques, ajouta-t-il dans un souffle.
    
    Un frisson parcourut mon échine. Jamais un homme ne m’avait regardée ainsi, jamais je n’avais laissé quelqu’un m’observer dans une telle intimité. L’hésitation me saisit, mais un curieux frémissement d’excitation luttait contre ma pudeur. Je serrai les doigts sur le drap, indécise.
    
    — Tu les as vite cachés… souffla-t-il avec un sourire. Mais si tu veux…
    
    Sa phrase resta en suspens. L’attente alourdissait l’air entre nous. Lentement, presque tremblante, je laissai le drap glisser le long de ma peau.
    
    Son regard s’ancra au mien avant de se poser sur mes seins, dévoilés à la lueur tamisée de la chambre. Mes larges mamelons, dressés sous l’effet du frisson, semblaient réclamer l’attention qu’il leur offrait. Une chaleur nouvelle s’empara de moi, mélange troublant de pudeur et d’excitation.
    
    J’ignorais jusqu’où ce moment nous mènerait, mais une chose était certaine : je n’avais jamais ressenti un tel frisson.
    
    Son regard brûlait ma peau autant que si ses doigts ...
    ... s’y posaient. Je sentais chaque frisson naître sous ses yeux, chaque soupir trahir l’émoi qui me gagnait. Il ne bougeait pas, figé devant moi, partagé entre fascination et retenue.
    
    Le drap que j’avais laissé glisser s’était arrêté juste sous ma poitrine, exposant mes seins à la lumière tamisée de la chambre. Mon souffle court les faisait légèrement tressaillir, et je vis ses pupilles se dilater alors qu’il les observait, détaillant chaque courbe, chaque frémissement.
    
    — Tu es belle… murmura-t-il, sa voix rauque, presque brisée.
    
    Je me mordis la lèvre. Mon corps tout entier vibrait sous cette attention nouvelle, cette sensation grisante d’être regardée avec un tel désir. Jamais personne ne m’avait contemplée ainsi. Son regard effleurait la rondeur de mes seins, glissant lentement jusqu’à mes mamelons, d’un rose tendre, légèrement durcis par l’air tiède de la pièce et par cette tension qui ne cessait de croître.
    
    — Tes seins… ils sont parfaits.
    
    Un frisson me parcourut. L’envie de me cacher m’effleurait encore l’esprit, mais une autre émotion, plus troublante, me poussait à rester là, offerte à ses yeux. Il n’essayait pas de me toucher, et pourtant, je sentais sur ma peau la brûlure de son désir.
    
    — Tu… tu ne devrais pas me regarder comme ça… soufflai-je, troublée par l’intensité du moment.
    
    Un sourire effleura ses lèvres.
    
    — Et toi… tu ne devrais pas me laisser faire.
    
    Sa voix me fit frissonner. Je savais que je pouvais tirer le drap à tout instant, rompre ce ...
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