1. Quand le corps s’éveille – Chapitre 1 : L’ami du frère de Virginie


    Datte: 20/11/2025, Catégories: Première fois Auteur: Steve40, Source: Hds

    ... confidentielle, elle reprit :
    
    — La première fois que j’ai réellement pris conscience de moi, c’était…
    
    Elle marqua une brève pause, comme pour rassembler ses pensées, avant de plonger dans son récit, prête à révéler une part d’elle-même qu’elle n’avait jamais osé exprimer.
    
    — C’était quand j’avais 18 ans. J’étais dans la salle de bain.
    
    La vapeur tiède flottait encore autour de moi lorsque j’arrêtai l’eau. Des gouttes s’attardaient sur ma peau, glissant lentement le long de mes courbes. J’attrapai une serviette, la pressant contre moi avec lenteur. Chaque geste semblait une caresse, chaque frisson, la douce promesse laissée par la chaleur réconfortante de la douche.
    
    C’est à cet instant précis que quelque chose a changé. Dans le silence feutré de la pièce, enveloppée par la chaleur et la douceur du tissu, j’ai ressenti une étrange clarté. Pour la première fois, je me suis vraiment vue. Pas seulement mon reflet dans le miroir embué, mais bien plus profondément. Comme si chaque goutte, chaque souffle, chaque battement de cœur m’ancrait un peu plus dans la conscience de ce que j’étais.
    
    J’enfilai mon peignoir, sa douceur épousant mon corps encore humide, et repoussai mes cheveux bouclés en arrière avant de sortir de la salle de bain. Alors que je remontais le couloir vers ma chambre, une silhouette attira mon attention.
    
    Il était là. L’ami de mon frère.
    
    Nos regards se croisèrent, et une étrange chaleur s’installa entre nous. Il me détailla brièvement, et je ...
    ... devinai dans ses yeux un éclat que je n’avais jamais vu auparavant. Il était beau. Son regard sombre, sa posture décontractée mais attentive… Une seconde passa, peut-être deux, et un sourire discret effleura mes lèvres avant que je ne détourne les yeux pour continuer mon chemin.
    
    Arrivée dans ma chambre, je fermai la porte derrière moi et laissai mon souffle s’échapper lentement. Pourquoi cette simple rencontre me troublait-elle autant ?
    
    D’un geste fluide, je défaisais la ceinture de mon peignoir et le laissai glisser sur mes épaules, révélant la douceur de ma peau encore tiède. Totalement nue, je me glissai dans mes draps, mais ne pris pas la peine de me couvrir entièrement.
    
    Je laissai ma tête reposer sur l’oreiller, mes doigts effleurant distraitement ma peau, tandis que mon esprit s’attardait étrangement sur l’image de ce regard croisé dans le couloir.
    
    Allongée sur mon lit, je laissais mes doigts effleurer ma peau, frôlant la courbe de mes hanches avant de remonter lentement vers ma poitrine. Mes seins, pleins et lourds, s’élevaient au rythme de ma respiration. Sous mes caresses légères, la chaleur se répandait en moi, et mes tétons rosés, sensibles, frissonnaient au contact de l’air tiède de la chambre.
    
    Je me perdais dans ces sensations lorsqu’un bruit soudain me fit sursauter. La porte venait de s’ouvrir, et dans l’ombre du cadre, je reconnus l’ami de mon frère. Mon cœur s’emballa. Instinctivement, je ramenai le drap sur ma poitrine, mais l’éclair de surprise ...
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