Premier jeudi
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
voisins,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Auteur: Petar, Source: Revebebe
... se rejoignent enfin de chaque côté de la verge pour la serrer et la masturber. Je suis aux anges, imprime un mouvement de va-et-vient, m’excite et me tortille, prisonnier de ces orteils et comme on dit dans ce cas là : "je prends mon pied". Quel bonheur de libérer son corps et particulièrement son sexe et, sans tabous, se faire du bien, jouir de ses sens !
Un grand soupir de volupté et Martha se lève, se retourne, me présente ses fesses charnues, se baisse en avant, amène son anus et sa vulve au niveau de ma bouche. Je me délecte de son intimité mouillée d’eau et de sécrétions intimes, ma langue fouille son sphincter, trouve une issue et s’infiltre dans son rectum. Elle soupire d’aise, confirmant ainsi le bien que cela fait. Mes doigts malaxent ses grandes et petites lèvres, son clitoris, l’entrée du vagin, à la recherche du point sensible. Ses mouvements et ses onomatopées me guident, elle jubile, se met à juter abondamment et jouit brusquement entre mes doigts. Elle se retourne fougueusement et me gratifie d’une "pelle" à déplacer des montagnes. Martha se relève, s’assied lentement sur ma queue rigide, ajuste son anus sur la flèche et se laisse tomber sur ma hampe. La pénétration m’arrache un cri de bonheur, ce fourreau étroit enserre mon membre à le faire éclater. Je durcis encore plus, les mouvements de montée-descente me poussent à bout et rapidement j’éjacule dans son rectum à grands cris de fauve. Martha n’est pas en reste et jouit à nouveau sans ménagement. Nous ...
... restons là, essoufflés et heureux, la satisfaction se lit sur nos visages rayonnants.
— Oh, ta queue, grande, solide, vivante, quel bien ça me fait ! murmure Martha, au septième ciel.
Je n’ai rien à ajouter et me laisse bercer par son souffle qui se calme, son corps se détend, sa voix me transporte au paradis. Ma verge détendue, toujours prisonnière de son fondement, subit les contractions de son sphincter, cette sensation est sublime. Lentement, très lentement, l’oiseau sort de son nid, Martha se redresse, m’embrasse à nouveau fiévreusement et déclare :
— Que ta queue est bonne…
Quelques minutes de calme, de câlins, de baiser et après avoir ajouté de l’eau chaude, nous nous lavons mutuellement à mains nues. Ces caresses, ces triturations, ces bruits de succions nous font rire et nous excitent encore un peu.
Après séchage nous nous installons, nus, dans les fauteuils du salon. Martha me passe quelques morceaux de musique qui lui plaisent, principalement du jazz. Elle m’offre un whisky, les glaçons passent du verre sur la peau des seins, du ventre, des fesses. Un peu de whisky coule le long de son dos, glisse entre ses fesses, reparaît au haut de ses jambes et descend vers le sol. Ma langue suit ce chemin, s’arrête où c’est le plus doux, lape le liquide et s’insinue dans les replis. Martha est à nouveau chaude, elle en veut encore et encore. Elle attrape ma hampe semi-rigide et l’enfourne dans sa bouche, petit mouvement de va-et-vient entre ses lèvres jouant à ...