1. Premier jeudi


    Datte: 25/09/2019, Catégories: h, fh, extracon, voisins, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Petar, Source: Revebebe

    ... répondre, elle ajoute :
    
    — Je dansais sur la même musique…
    
    Ses mains s’approchent de ses hanches, font descendre lentement le pantalon… J’ai envie de protester, de parler de son mari, de lui dire qu’on ne se connaît pas, de me sauver… mais à quoi bon. Son cul m’ordonne de me taire, il ondule devant moi, recouvert d’un slip blanc semi-transparent faisant apparaître les lobes de ses fesses. Ma verge répond présente, cachée et au beau fixe, elle me rappelle mon excitation de l’autre soir. Longtemps après, Martha accroche le tissu restant de ses pouces, glisse le slip au milieu des fesses, attend plusieurs mesures, puis descend encore plus lentement au niveau des cuisses. Se penchant en avant pour se débarrasser du vêtement, elle me gratifie d’une généreuse vue de sa vulve et de son anus. Elle se relève, continue sa danse, se retourne, extrait ses épaules de la blouse, dégage ses seins, mais maintient pudiquement son tissu au niveau de son sexe, comme une statue de Vénus sortant de l’onde. Elle m’annonce solennellement :
    
    — J’ai envie de toi, j’ai besoin d’un sexe. Mon mari ne me satisfait pas du tout, il réalise régulièrement une à deux fois par semaine sa petite affaire. Cela lui suffit, me fait du bien, mais ne me convient pas. Je lui ai donc proposé de prendre un amant et, tiens-toi bien, il m’y a encouragée disant que, pour lui, le sexe n’est pas primordial. Je lui ai rétorqué qu’il y a un risque que je m’attache à quelqu’un d’autre, il m’a répondu qu’il assumait ...
    ... ce risque. Moi, je n’y tiens plus, j’ai un grand besoin de baise et aujourd’hui, avec toi, je passe à l’offensive.
    
    Et Martha termine, candide :
    
    — Tu peux encore partir, c’est le dernier moment, ne pas accepter ce marché…
    
    Après la démonstration affichée, sa voix suave qui me subjugue, son corps dénudé qui m’appelle, il ne me reste qu’à m’exécuter.
    
    Je me lève de mon siège, prends la main tenant la blouse et calmement l’écarte, découvrant sa pilosité peu fournie laissant deviner ses lèvres intimes. Je l’enlace doucement et danse en lui entourant la taille. Son corps répond immédiatement en se lovant contre moi. Plusieurs minutes sans rien faire d’autre qu’onduler ensemble comme pour apprendre à synchroniser nos sens. Mes mains descendent accrocher ses fesses douces et pleines. Sa respiration devient haletante, son corps se frotte contre moi comme une chatte amoureuse. Sa main gauche se pose sur mon abdomen, monte lentement, caresse ma poitrine, mon cou, ma nuque, s’accroche à mes cheveux imprimant un fléchissement de la tête afin que nos deux bouches se joignent. Ses lèvres charnues, gonflées de désir, me transportent au pays d’Eros, celui où le réel fait place aux sens. La vision se trouble, le vertige nous gagne. La main droite de Martha se pose sur ma cuisse, monte sur la braguette, se plaque sur la longueur de ma verge, semble la mesurer, la comparer au modèle enfoui dans le cerveau. Fébrilement, elle fait passer ma chemise par-dessus tête, s’active à défaire ma ...
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