Premier jeudi
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
voisins,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Auteur: Petar, Source: Revebebe
... danser, tourne autour du slip et du soutien-gorge, décrivant des lemniscates qui rappellent la dimension infinie de l’appel du sexe. Ses seins de belles dimensions ballottent et se cognent, son pubis généreusement garni de poils foncés se dandine, ses fesses vibrent au son de la musique inconnue, peut-être une mélopée sud-américaine ?
Loïc apparaît, saisit sa femme par la taille, l’embrasse et l’emmène hors du champ de ma vue. Martha a juste le temps de plaquer sa main sur le pantalon, prodiguant une puissante caresse à l’outil encore caché. La lumière s’éteint, les deux amants passent du bureau à un lieu plus propice à l’amour, peut-être le lit, peut-être un fauteuil ou la table de la cuisine. Mon imagination exacerbée déroule son cinéma, enclenche à nouveau le levier d’amour. Je me retrouve, nu comme un ver, dans mon lit, prodiguant une méchante masturbation à cette queue qui ne demande qu’à gicler les résultats de ses cogitations.
Le jeudi suivant, reçu par mes voisins, un peu mal à l’aise, n’osant regarder Martha en face, je mange ce délicieux repas en silence. Elle, plutôt loquace, occupe l’espace de sa voix sensuelle, se lève régulièrement pour onduler des fesses et se pencher pour dévoiler son décolleté où les fruits se baladent outrageusement. Elle m’observe, me sourit, me nargue devant son mari, lui aussi silencieux. Pour le dessert, comme dans une publicité télévisée, deux boules de glaces dans l’assiette présentée, en se penchant généreusement, devant les ...
... deux boules du corsage presque libérées par deux boutons décrochés à la blouse. Loïc reste de marbre, ma queue répond au fond de mon slip, Martha mange suavement, même érotiquement, sa glace. Il souffle une ambiance pour le moins ambiguë lorsque Loïc nous annonce son départ au travail. Une poignée de main chaleureuse, un baiser goulu et appuyé, nous sommes salués.
— Nous pouvons prendre le café au salon, dans des fauteuils plus confortables, me susurre mon hôtesse.
Martha met en route la stéréo, une salsa langoureuse. Elle se met à onduler en rythme jusqu’à la cuisine, danse devant la machine à café. Ses mains montent et descendent sur ses flancs, caressent les seins au passage. Son regard en coin me donne des sueurs, son sourire me met mal à l’aise. Elle décroche encore un bouton de sa blouse, il n’en reste qu’un, se saisit des deux tasses de café, avance langoureusement en ondulant dans ma direction, se penche ostensiblement devant moi dévoilant le vallon entre ses deux seins jusqu’au nombril.
Nous buvons notre café en silence assis l’un en face de l’autre et je m’inquiète malgré tout un peu de la tournure prise par les évènements.
Martha se lève brusquement sans un mot, se place devant moi, me tourne le dos, ondule en rythme, mettant ses fesses en valeur. Elle se trémousse longtemps, ajoutant des langueurs et des soupirs. Elle me dit, dans un souffle :
— L’autre soir, tu étais derrière ta fenêtre, pour m’observer, n’est-ce pas ?
Sans me laisser le temps de ...