1. Le VIP ROOM


    Datte: 23/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds

    ... transat toujours en moi et me baisa encore plus fort et encore plus longtemps.
    
    - Je vais te baiser dans tous les coins de ta villa ma salope, même si ça doit durer toute la nuit….
    
    Je gémissais, sujet à de multiples d’orgasmes sous les coups de son sexe. Ses mains toujours accrochées à moi, alors que son doigt s’immisçait dans mon anus, pendant que son sexe poursuivait son travail de sape et continuait à me troncher. Il me releva encore et toujours accroché en moi pour m’entraîner dans la maison. Pendant qu’il fouillait mon sac pour trouver la clé et ouvrir la porte, il me colla son sexe dans la bouche ne m’offrant aucun répit, aucun repos. Il me tenait par les cheveux et me baisait la bouche, alors que la porte s’ouvrait. Il me fit avancer dans le salon en me maintenant son sexe en bouche. Un fauve, et une nymphomane, voilà ce que nous étions. Il me poussa sur le canapé et me plaça à 4 pattes pour continuer à me baiser Ayant éjaculé plusieurs fois dans la journée, il était plus résistant. Les petites pilules bleues, devaient aussi contribuer à sa résistance hors norme. Il continua à m’utiliser pendant une bonne parte de la nuit. Surexcitait, il m’emmena sur la table et me coucha en levrette, afin de continuer à me baiser. Ses mains s’abattaient sur ...
    ... ma croupe. Plus je gémissais, plus il me fessait, et plus mes fesses rougissaient, plus il forçait les coups de hanches. Il finit par me traîner enfin dans ma chambre où je me remis à le sucer. Je sentais qu’il venait. Il allait enfin gicler dans ma bouche. Mais il se retira pour me doigter et reprendre un peu de force. Je hurlais, je gémissais, je pleurais, avec sa main entièrement en moi. Ma robe saharienne était dévastée. Il l’avait déchirée en deux pour faire encore plus apparaître mes gros seins. Il me replaça à 4 pattes pour le bouquet final et me viola mon anus, qui n’attendait que ta queue… Je savais qu’il n’allait pas tenir, mais le temps était compté, je me sentais partir, m’évanouir… Je n’en pouvais plus. Jamais on ne m’avait baisé avec une telle intensité. Défonçais depuis 2 jours, je subissais l’assaut final qui m’anéantissait. De grandes coulées de sperme se répandirent enfin sur mes fesses jusqu’à ce qu’il s’écroule à mes côtés. Nous restions plus de 30 minutes tous les 2. Il était 5 heures du matin, et je devais prendre mon avion le lendemain de Nice en fin de matinée. J’étais épuisée, anéantie et comateuse. Discret, il m’embrassa pour repartir rejoindre son monde avec Karine et Véro avec lesquelles il allait terminer ses vacances sans moi. 
«12...891011»