1. Le VIP ROOM


    Datte: 23/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds

    ... ma saharienne. On continua à danser pendant une bonne partie de la nuit et retournions avec Karine plusieurs fois aux toilettes. Chaque fois plus fort !!! Chaque fois plus intensément !!! Toujours sans nouvelle de Véro, et au vu de l’heure, on quitta finalement la boite pour rentrer se coucher. Arrivés près de la voiture, on retrouva Véro, avec nos deux hommes qui nous attendaient. Elle était recouverte de sperme. Vraisemblablement bien plus que ce que les 2 idiots ne pouvaient produire. Sans rien dire, silencieuse et un brin coupable elle monta dans la voiture, moi devant avec toi et les filles derrière épuisées. En chemin, elles s'endormirent avant que la voiture ne me dépose devant chez moi.
    
    - Tu repars demain alors ?
    
    - Et oui, les vacances sont finies, il faut reprendre le travail. Tu m'accompagnes jusqu'à a la porte, j'ai un truc à te donner.
    
    On sorti de la voiture laissant les filles dormir et Hubert me raccompagna. J'ouvrais la porte et on se glissait tous les dans le jardin. Une fois à l’intérieur, je refermais la porte d’un coup de pied et sautais sur Hubert pour l’embrasser. Il plongea sa langue en moi, traînant ses mains sur mon gros cul pour me relever ma robe saharienne. Il marque une hésitation avant de rencontrer son jouet entre mes fesses….
    
    - Hummmm ma belle salope, je vois que tu as pris goût à mon jouet… Viens ici que je te le retire.
    
    Il me l’enleva et me roula une pelle gourmande. Sa langue était partout dans ma bouche, dans mon cou, sur mes ...
    ... lèvres… On entendait nos bruits de sucions dans tout le jardin. Ses mains agrippaient mes gros seins pour les peloter allégrement. Son autre main remontait ma cuisse gauche en passant en dessous pour me tenir la jambe en l’air. Il écarta mon string et plongea son membre redevenu dur au fond de moi. Il me baisa contre la porte du jardin, me donnant des grands coups de hanches comme pour me transpercer. Il prit ma deuxième cuisse pour me soulever et continuer à me baiser comme un marteau-piqueur. Il était debout en moi, et moi envahit par son sexe, mes mains tenaient sa nuque, juste portée par la force de ses bras qui étaient passées en dessous de mes cuisses et s’accrochaient à mes grosses fesses. Je n’en pouvais plus après une journée complète de sexe, j’avais toujours autant envie d’être son objet, son jouet, qu’il me baise, me défonce comme un fou, me viole tous mes trous, m’utilise de toutes les façons possibles. Toujours en moi, il marchait vers le jardin en me portant, soudé à sa bitte, et en fouillant ma bouche de sa langue. J’étais comme un pantin désarticulé, envahit par un membre soudait en moi, mais qui coulissant de manière frénétique, avec ma robe déchirée et mon sac à main en bandoulière qui se balançait comme un détail ridicule, qu’on aurait oublié de gommer. Il s’arrêtait de temps en temps pour m’appliquer des grands coups de reins. On était debout tous les deux en plein milieu du jardin à faire l’amour comme des amants perdus et passionnés. Il me coucha sur un ...
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