1. COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (10/16)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... un cierge bien plus gros que votre bite qui est pourtant fort respectable.
    
    • Appelé moi Léon, sinon me rappeler qui je suis va me couper mes moyens surtout que je savais que tu étais l’amie d’Odette et chaque fois que je te confessais ta voix me faisait bander.
    
    Tu as raison mets-toi en levrette.
    
    • De quoi parlez-vous Léon, levrette ?
    
    • C’est vrai, vous ne connaissez pas grand-chose au sexe, se mettre ç quatre pattes pour une femme et se faire baiser, c’est se mettre en levrette.
    
    Ce qu’il y a de bien avec Léon, c’est que les explications sont possibles immédiatement, il se lève la flamberge au vent montée sur le lit se saisit des hanches d’Agnès qui l’attend et plonge en elle, quelques coups de reins et la belle salope se mettent à rouler du croupion.
    
    • T’avais raison un cierge, c’est bon, mais le pieu de Léon, c’est meilleur, mon ventre va exploser, je comprends que sœur Isabelle soit tombée amoureuse de ce mec qui la déflorait.
    
    Viens m’embrasser.
    
    Aussitôt demandé aussitôt fait, je me dévêts et je monte sur le lit, je me glisse entre les bras d’Agnès remontant vers les sexes des deux partenaires, je croise sa paire de seins dont je profite au passage pour les embrasser la faisant glousser.
    
    Le nombril a toute mon attention ou j’entre ma langue la faisant se trémousser.
    
    Enfin, j’arrive dans un dernier mouvement sur mes fesses à atteindre les deux sexes, je me dépêche de laisser traîner ma langue sur la bite du mâle et les grandes lèvres de la ...
    ... femelle.
    
    • Tu aimes, ma salope !
    
    • Oui.
    
    Ce simple mot me ravit, car il me fait voir l’intensité du moment qu’elle subit comme cela a été le cas pour moi avec le Duc.
    
    Il est vrai que j’ai connu mieux avec les deux faux prêtres, mais pour elle cette première est bonne tout de même et surtout au moment où elle baisse la tête et vient me lécher l’intérieur du vagin, je coule, elle mouille, elle coule, je mouille.
    
    La position que nous prenons toutes les deux, ressemble à un 6 et un 9 qui est peut-être l’ancêtre du 69, je suis fière d’avoir cette pensée la première et qui sait peut-être passer à la postérité.
    
    Quelques coups de reins de Léon au fond du calice de son amante et je vois sortir quelques gouttes de sperme comme si la chatte d’Agnès expulsait un trop-plein, je lèche méticuleusement ce fin breuvage et quand il se retire, j’ai la joie que sa queue m’en envoie un peu plus que les premières gouttes.
    
    Pour faire bonne mesure, je passe ma langue dans le trou béant que j’ai devant mes yeux ramenant à ma bouche un maximum de sperme ainsi que sa verge venant à son tour dans ma gorge pour se faire nettoyer.
    
    Je parle de ce qui se passe sous mes yeux alors qu’en même temps la langue qui caresse ma chatte et surtout mon clitoris me permette de jouir en même temps qu’eux.
    
    Nous nous couchons dans les bras les uns des autres, les jambes tellement imbriquées qu’à part celle de Léon bien poilus, il est impossible de dire à qui appartient l’une ou l’autre.
    
    Le jour ...
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