1. COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (10/16)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    La révolution vient de frapper le couvent ou le Duc mon premier amant père du jeune Justin qui devait devenir mon époux m’a laissé, car il pensait que j’avais plus de chance cachée au milieu des nones.
    
    Agnès l’une d’elles m’apprend les plaisirs féminins, mais je nous sauve de l’invasion qui a été fatal à la cafteuse qu’était sœur Isabelle, que nous avons entendu se faire malmener derrière la porte menant à la terrasse du clocher où par chance nous venions de monter.
    
    Je l’ai vu repartir avec les autres sœurs, mais dans une posture qui me fait penser qu’elle est devenue grâce aux gros sexes qui l’ont perforé accro au sexe d’Émile ou peut-être de Polo, bref celui des deux qui avait la plus grosse.
    
    Nous avons quitté le couvent dans la nuit pour rejoindre le presbytère dans le village voisin où le curé était le confesseur des sœurs.
    
    À ce titre, il est devenu l’amant de sœur Odette, hélas décédé ce soir et c’est à ce moment que pour lui succéder la mère supérieure est venue le solliciter.
    
    • J’étais surpris, mais aussitôt franchi ma porte, je l’ai vu défaire ses vêtements, je peux vous dire que sœur Odette dans les premiers temps de nos rapports était assez bien foutue, mais le temps avait fait son effet et ma queue s’est tendue sans problème quand j’ai vu sa chatte bien touffue mise à ma disposition.
    
    En tant que mère supérieure, ma maîtresse avait tenu à lui dire le pécher qu’elle commettait avec moi voulant soulager son âme sentant ses forces décliner, vous ...
    ... pouvez comprendre, une nouvelle fois à l’endroit où vous êtes assise que je l’ai poussé.
    
    Quand j’ai fini par décharger sans pour autant lui faire atteindre l’orgasme sortant ma queue de son fourreau, j’ai constaté que je venais de la dépuceler.
    
    • Incroyable, nous nous sommes toujours toutes fait déflorer avec les cierges.
    
    • Vous nous avez cachés cela sœur Agnès, je me souviens du nombre de fois où je vous ai demandé si vous aviez péché et vous avez toujours été muette.
    
    • Nous comprenions mal le mot « péché » à part le puits aucune rivière dans les alentours du couvent !
    
    • Foutez-vous de ma gueule.
    
    • Et vous avec l’évêque ?
    
    • C’est vraie la rivière passe au bas du village, mais il aurait fallu que je fabrique une canne à pêche, mais je n’avais qu’un bâton trop court à ma disposition.
    
    Nous éclatons de rire.
    
    • Monsieur le curé, mais vous bandez !
    
    • Mademoiselle quel mot affreux dans une si jolie bouche.
    
    • Ma bouche est jolie, mais votre bite est tendue, Agnès toi qui me demandais ce qu’une femme ressentait en recevant une verge bandée, met toi nue.
    
    • Blanche un curé.
    
    Je soulève sa chemise de nuit.
    
    • Curé certes, mais aussi homme et je peux te dire que la révolution permet bien des libertés.
    
    Je me lève, détache ses vêtements montrant sa belle chevelure brune.
    
    • Mets-toi sur le lit à quatre pattes, monsieur le curé venez sur le lit la prendre par-derrière dans sa chatte, avec mon amie, vous entrerez comme dans du beurre, elle a un copain, ...
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