Au restaurant des cheminots
Datte: 22/09/2019,
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Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... de la maison, des pièces annexes. Le garage, l’atelier avec les outils rangés parfaitement sur un tableau, on sent l’homme ordonné, le bricoleur méthodique.
Avec la maman de Chantal, ils avaient acheté cette maison assez ancienne et défraîchie. C’est lui qui l’a remise en état. Comme me l’a dit Chantal, c’est une famille unie et heureuse, je ne puis détruire ce bonheur.
— Adrien, me dit Chantal, Hervé a un problème avec son ordinateur. Je lui ai dit que tu y tâtais un peu. Tu pourrais le regarder.
— Non, laisse-le tranquille. L’ordinateur fonctionne mais il va très lentement. La prochaine fois tu le regarderas.
— Mais non, allons-y de suite, si je trouve la panne, la prochaine fois j’apporterai la pièce nécessaire.
L’appareil me paraît en bon état, aucune panne électronique. Il a seulement besoin d’une mise à jour et surtout d’un nettoyage complet. Il y environ une demi-heure de travail.
— Je vois ce que c’est mais je n’ai pas le matériel nécessaire. Je reviendrai pour que tu l’aies la semaine prochaine.
— Mais rien ne presse.
— Demain je suis de repos. Si cela ne vous dérange pas, je passerai dans la matinée.
— Merci, tu m’arranges bien.
Nous sommes allés retrouver Roseline qui finissait de mettre de l’ordre. Pierre lui a demandé si elle pourrait se libérer le lendemain. Aucun problème, on lui devait des heures. Il lui a dit alors que je viendrai réparer l’ordinateur. Elle a paru surprise puis a approuvé avec un sourire en coin.
Pendant tout le voyage ...
... de retour, Chantal n’a pas cessé de me dire que j’avais fait une impression terrible à la famille. Et surtout son frère était très content, en particulier que je puisse le dépanner. Cette nuit-là, elle m’a remercié d’une manière formidable et j’ai fait de mon mieux. Mais ce n’était pas elle que j’avais dans les bras, mais sa belle-mère.
Le lendemain matin, j’ai fait le nécessaire pour arriver chez la belle-famille quand tout le monde serait parti. Je n’ai pas eu le temps d’appuyer sur la sonnette, la porte s’ouvrait déjà. Dès que la porte a été refermée, sans même échanger un mot, nous avons échangé un baiser torride. Puis elle m’a dit :
— Va vite réparer l’ordinateur, puis nous serons tranquilles.
— J’ai tout le temps, il n’y a qu’une demi-heure de travail. Mais je te veux de suite. Pense au serment que nous nous sommes fait.
— Je le sais et je t’attendais avec impatience. Montons vite.
Dès la porte ouverte, je me précipite sur elle pour la déshabiller. Elle ouvre sa robe, elle est nue dessous.
Nous réalisons toutes les caresses que nous connaissons. Je suis excité à l’extrême. Je veux terminer notre union. Elle se met à quatre pattes et me présente l’entrée interdite. Je pénètre lentement, dans le boyau. C’est délicieux et je réfrène mon ardeur. Je lui caresse le bouton, lui saisis le sein de l’autre main.
C’est elle qui me demande de terminer. Nous éclatons simultanément et je me vide en elle.
Allongés côte à côte, nous nous regardons en souriant. Pas ...