1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, Humour policier, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... ne va pas tarder… Eh bien non, elle porte une sorte de culotte brésilienne de dentelle rouge.
    
    Comme on pouvait s’en douter, il s’agit d’un modèle de marque, mais je ne suis pas bien certain que tout cela serve véritablement à quelque chose : l’ensemble est si transparent que je peux affirmer que Patricia n’est pas une vraie blonde et que son abricot est totalement épilé.
    
    À l’autre bout, si j’ose dire, elle vient d’attraper les petites lèvres de Marie-Charlotte comme pour mieux accéder à son petit bouton qu’elle lèche et suce avec avidité. Pas la peine d’activer le son : l’expression du visage de sa belle-mère est assez explicite et son bassin assez remuant pour savoir qu’elle y prend beaucoup de plaisir. Finalement, je ne crois pas que j’aie vraiment besoin de m’inquiéter…
    
    Mais si je me fais du souci, ce n’est apparemment pas le cas de tout le monde, à commencer par Vanessa. Elle s’est tranquillement assise dans l’un des fauteuils de ce bureau et, un pied sur la console de contrôle et la jupe largement retroussée, elle est tranquillement en train de faire coulisser son index au fond de son sexe, les yeux rivés sur le grand écran. Je la foudroie du regard.
    
    — Je… je… je suis désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris…
    
    Je souris.
    
    — Ne le sois pas, Vanessa. Tu sais, si tu veux vraiment que je te dise que tu es une petite salope, il va falloir me le prouver.
    
    Son regard est plein d’incompréhension.
    
    — Si le spectacle de ta patronne et de sa belle-fille ...
    ... t’excite, il n’y aucune raison d’en avoir honte. Par contre, je veux que tu ne t’occupes pas de moi et tu te fasses jouir.
    — Vous… vous voulez que je me branle devant vous ?
    — Oui, surtout si tu veux m’entendre te dire que tu es une petite salope.
    
    Si, dans un premier temps, Vanessa est hésitante, cela ne dure que quelques minutes à peine avant qu’elle ne parte dans une branlette furieuse, à moins que ce ne soit une furieuse branlette.
    
    Naturellement, je n’en perds pas une miette, même si je continue d’observer les écrans du coin de l’œil. Et vas-y que je me masse le clito, et vas-y que je me mets deux doigts, et vas-y que je m’écarte la chatte jusqu’à plus soif, le tout accompagné de gémissements qui ne laissent aucun doute sur la réalité de son plaisir. Comme, par-dessus le marché, rouge comme un drapeau de manifestant sans que je ne puisse déterminer si c’est de honte ou de plaisir, son regard ne cesse d’aller et venir entre l’écran et le mien, j’avoue que cela me donne une trique d’enfer. Pour le moment, l’urgence est ailleurs, mais quelque chose me dit qu’elle ne va pas regretter d’être venue, la petite.
    
    Sur l’écran, les choses viennent d’évoluer. Je ne sais à quel moment cela s’est produit, mais les deux femmes sont désormais quasiment nues. Patricia ne porte plus que ses bas, Marie-Charlotte n’ayant de plus que son porte-jarretelles. Comme les deux femmes, sans que je ne sache pourquoi, on conservé toutes deux leurs escarpins, j’ai véritablement le sentiment de mater ...
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