1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, Humour policier, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... l’ensemble de nos vêtements par terre et, attrapant Vanessa par la taille, je l’assieds sans ménagement sur le meuble sur lequel j’avais déposé ces foutues fringues. Nue, assise et les jambes écartées, mon sexe à quelques centimètres de sa grotte d’amour, je pense que l’invite est assez explicite.
    
    — Je veux vous entendre crier une seconde fois, Vanessa. Vous êtes prête ?
    
    Qui ne dit mot consent ; et ça, pour le sentir, elle va le sentir… D’un trait, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde et commence aussitôt à la pilonner frénétiquement. Elle crie, elle braille, elle grogne, elle geint au rythme de mes coups de reins, mais rien n’y fait : je ne ralentis pas la cadence.
    
    Tout cela ne dure naturellement pas très longtemps puisque, pour la seconde fois en moins d’une heure, je sens la sève monter de mes reins et je me déverse en elle. Comme pour faire bonne mesure, c’est le moment précis que Vanessa choisit pour jouir elle aussi, tout en poussant un cri peut-être encore plus terrible que le premier.
    
    Nous restons comme ça, enlacés, soudés l’un a l’autre, mon sexe toujours au fond du sien. Elle ne dit plus rien, et c’est à ce moment que je sens quelque chose de chaud couler sur mon épaule. Des larmes ; ses larmes.
    
    — Vanessa ! Que vous arrive-t-il ? J’ai fait quelque chose de mal ?
    — Non, Monsieur, ce n’est pas cela…
    — Alors parlez, Vanessa. Pourquoi pleurez-vous ?
    — C’est que, c’est que…
    
    Ses sanglots repartent de plus belle. Comme, dans la salle, il y a un ...
    ... canapé, je la prends dans mes bras et vais la déposer dessus. Puis, de nouveau, je la prends dans mes bras. Elle se calme.
    
    — Expliquez-vous, je vous en prie… J’ai horreur de voir une femme pleurer.
    — C’est que… c’est que… Ce n’est pas possible, Monsieur n’est pas Monsieur.
    
    Le ciel me tombe sur la tête.
    
    — Pardon ?
    — Vous n’êtes pas Claude Dubreuil. Vous lui ressemblez, mais vous n’êtes pas lui.
    
    J’essaie toutefois de cacher mon désarroi.
    
    — Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ?
    — Le vrai Claude Dubreuil n’aurait jamais pris soin de me sodomiser sans douleur. Le vrai Claude Dubreuil n’aurait pas pris le temps de me déshabiller, de me savonner, et encore moins de me faire jouir comme vous venez de le faire.
    — J’ai peut-être changé, vous savez…
    — Non… Claude Dubreuil avait un sexe beaucoup plus petit que le vôtre, il ne serait jamais parvenu à me faire jouir comme vous la seconde fois.
    
    Comme pour mieux noyer le poisson, je hausse les épaules.
    
    — Bah, comme vous le savez, je suis amnésique. Peut-être, après tout, que je ne suis effectivement pas Claude Dubreuil. Ne bougez pas, je vais vous chercher vos vêtements.
    
    Le temps d’aller et de revenir, elle est de nouveau en larmes.
    
    — Ne pleurez pas, ce n’est pas si grave…
    — Si… Comment vais-je annoncer cela à Madame ?
    
    Cette fois, je souris.
    
    — Le plus simple est de ne rien lui dire, tout du moins pour le moment. Si vous connaissez votre patronne, vous savez quel tempérament elle a, et qu’elle m’a déjà ...
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