L'amnésique (adoucit les mœurs)
Datte: 21/09/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fbi,
frousses,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
attache,
fouetfesse,
délire,
Humour
policier,
aventure,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... probablement le paddock. À droite, face à la baie vitrée, une table, deux chaises et un canapé de toile écrue. Derrière ce petit coin repas, et le surplombant de deux marches, une kitchenette avec vue sur le parc. À gauche de l’entrée, ce qui m’a tout l’air d’être l’accès à la piscine et également à la salle de bain qui me semble bien, elle aussi, être intégralement vitrée. Vanessa s’amuse de ma surprise.
— Le parc avoisine les cent hectares, totalement clôturés. Ne vous inquiétez pas, il y a peu de chances que nous soyons surpris par des promeneurs.
En fait de promeneurs, j’aperçois une biche et son faon dans le lointain. Et à la lisière du bois, sur la droite, quelques familles de lapins doivent avoir élu domicile. On peut difficilement faire plus bucolique. J’attrape Vanessa par la manche.
— Je ne sais ce que nous avons fait ici même par le passé, mais je vous rappelle que rien ne vous oblige à quoi que ce soit.
Elle sourit.
— Je le sais, Monsieur… Et sachez que ce n’est que de mon propre chef que j’ai décidé de vous emmener ici…
Visiblement très émue, elle poursuit.
— …en souvenir du passé. Et, se reprend-t-elle, cela vous aidera peut-être à vous souvenir de nous… Allez, assez discuté, entrons.
Une petite cuisine en surplomb et donc, logiquement, une rambarde pour séparer la pièce. Et, tout aussi logiquement, un poteau de bois pour soutenir la dite rambarde sur laquelle Vanessa vient de s’appuyer. Là, j’assiste à un petit manège assez inattendu : ...
... un pied sur la première marche de l’escalier, l’autre sur la seconde, elle retrousse sa jupe, faisant apparaître une paire de bas top mais surtout une admirable paire de fesses. Comme Vanessa porte en plus des talons hauts, le tableau est assez réjouissant.
— Dites-moi, Vanessa, c’est une habitude, dans cette maison, de se balader le cul à l’air ?
Elle tourne alors la tête vers moi.
— Je suis entrée à votre service à dix-neuf ans. Un mois plus tard, vous me culbutiez sur la table de la cuisine du château et, ce jour-là, vous m’avez dit que vous ne vouliez plus jamais me voir avec une culotte. Depuis ce temps, je n’en porte plus…
Quelque part dans cette affaire, il y a un côté logique puisqu’il semblerait que Claude Dubreuil ait servi la même salade à Marie-Charlotte.
— Et là, maintenant, qu’attendez-vous de moi ?
— Monsieur avait coutume, dès que nous étions entrés, de venir m’enculer ici même. J’avais même espéré que vous vous en rappelleriez.
Je me rapproche alors d’elle et, sur le ton de la confidence, lui glisse à l’oreille :
— Rajustez-vous, Vanessa. Vous n’y êtes pas obligée.
Elle s’insurge :
— Et si, moi, je vous le demande ?
Décidément, il s’en passe de belles dans les hautes sphères !
— Comme vous voudrez… Mais je vous préviens : je ne sais comment se comportait l’ancien Claude Dubreuil, mais celui que vous avez devant vous, là, il n’encule pas. Quelquefois, si vous lui demandez et uniquement si vous lui demandez, il sodomise, mais il ...