1. L'université : de la soumission à la consécration (3)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: donico, Source: Xstory

    ... d’obéir docilement. Elle s’installe comme il le lui a réclamé, dos à nous. Paul lui assène alors une grande claque sur les fesses, ce qui lui fait lâcher un petit cri sous le coup de la surprise et de la douleur.
    
    — Je t’ai dit de parler ? la réprimande Paul en lui collant une deuxième claque, encore plus forte que la première.
    
    Mais cette fois elle ne bronche pas.
    
    — T’aimes ça, hein ?
    
    — Oh oui j’adore !
    
    — Salope ! répète-t-il une énième fois en lui donnant une nouvelle fessée.
    
    Puis je le vois s’adoucir, caresser ses fesses avec tendresse. Une de ses mains se glisse entre les cuisses de ma copine, vient titiller ses parties intimes, tandis que de l’autre il lui malaxe les seins. Elle ne tarde pas à gémir de plaisir.
    
    — Tu veux que je te lèche ta petite chatte ? demande-t-il.
    
    — Huuummm… oui… soupire-t-elle.
    
    A ma grande surprise, cela lui vaut une nouvelle claque retentissante sur les fesses.
    
    - Tu m’as pris pour qui ? T’as ton copain pour te lécher, salope ! Moi t’es ma chienne, t’es juste là pour satisfaire tous mes caprices. C’est clair ?
    
    - Oui, très clair, confirme-t-elle, apparemment toujours aussi heureuse de se faire maltraiter.
    
    Ravi de sa soumission, Paul attrape ma copine et la retourne perpendiculairement à nous – sans doute pour que nous ne rations rien de la scène – puis il se place juste derrière elle. Le gland de ce salopard n’est qu’à quelques centimètres de la matrice de celle que je croyais être la femme de ma vie.
    
    — Tu vas ...
    ... te faire baiser juste devant ton copain, sans capote, par un inconnu, résume Paul. Tu veux toujours ?
    
    — Oui ! hurle-t-elle presque, totalement dominée par le désir.
    
    — Salope… lâche-t-il une fois encore.
    
    Sur ce dernier mot empreint de tendresse et de poésie, il s’introduit en elle d’un coup sec, lui faisant lâcher un nouveau petit cri de douleur. Et comme la dernière fois, cela lui vaut une réprimande sous forme de fessée. Il lui attrape ensuite les hanches et entreprend de la baiser comme un animal.
    
    Fasciné par la scène qui se joue sous mes yeux, je me rends compte soudainement que ma sœur me regarde. Mes larmes se sont taries, et je crois bien que l’excitation a pris le pas sur tout le reste. Je bande comme un âne et, vu le regard qu’elle lance à la bosse qui déforme mon pantalon, Anna l’a remarqué.
    
    Soudain, une sensation étrange sur ma queue me fait sursauter : ma sœur vient de poser sa main dessus !
    
    — C’est bien ce qui me semblait, lâche-t-elle, tu bandes.
    
    — Non !
    
    J’ai bien conscience que ma dénégation est stupide et puérile, mais que puis-je faire d’autre ? Reconnaître que voir ma copine se faire baiser sous mes yeux par un inconnu m’excite ? Certainement pas !
    
    Mais ma sœur ne lâche pas ma bite, bien au contraire. Elle déboutonne mon pantalon, fait descendre la fermeture éclair et le descend à mes chevilles.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ?
    
    Surpris par son attitude, je ne sais pas comment réagir.
    
    — Je suis désolée, répond-elle, tout ça est allé ...
«12...567...»