1. L'université : de la soumission à la consécration (3)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: donico, Source: Xstory

    ... fait non de la tête.
    
    - Qui ? insiste-t-il avec un regard amusé vers l’armoire.
    
    - Il y a eu un prof une fois, commence-t-elle.
    
    - Un prof ? Coquine !
    
    - Il m’avait mis une mauvaise note ! répond Camille, comme si ça expliquait tout.
    
    Les larmes me montent progressivement aux yeux, que je peine à retenir. Moi qui pensais vivre une aventure si vraie, si pure avec elle ! C’était ma première vraie copine, la première avec qui j’avais eu une relation sexuelle ! Je me voyais déjà faire ma vie avec, avoir des enfants… Au lieu de ça, je me trouve prostré dans une armoire, à la regarder me faire cocu avec un inconnu.
    
    — Qui d’autre ? insiste Paul.
    
    J’ai envie de lui crier d’arrêter, de me boucher les oreilles pour ne pas savoir, mais ce serait stupide. Surtout qu’au fond, je veux savoir. Je voudrais juste que ce soit faux.
    
    — Quelques mecs rencontrés en boîte, j’aime bien coucher avec des inconnus.
    
    — J’ai remarqué ! ricane-t-il pendant qu’elle reprend sa queue en bouche. Mais pas de régulier au moins ?
    
    Un petit sourire faussement gêné apparaît sur son visage, accompagné d’un léger haussement d’épaules.
    
    — Quoi, si ? Dis donc, j’en ai connu peu des comme toi ! Qui ça ?
    
    — Je ne sais pas… glousse Camille en jouant l’ingénue. Tu vas dire que je suis une salope…
    
    — Nooon !! ironise Paul avec un sourire jusqu’aux oreilles.
    
    — Eh bah de temps à autre… je me tape son meilleur pote, Nicolas.
    
    La réponse laisse tout le monde sans voix. Ni Paul, ni ma sœur ...
    ... ne s’attendaient manifestement à ça. Mais soudain, Paul éclate de rire :
    
    — Imagine si ton copain était vraiment dans cette armoire ! dit-il en s’étouffant à moitié de rire.
    
    Et Camille de rire avec lui…
    
    Quant à moi, je ne peux cette fois plus retenir mes larmes, même si la fureur a largement rattrapé la honte et la tristesse. Par chance, je parviens à ne pas me faire entendre, mais tout juste. Même Anna semble prise de compassion pour moi. Leur jeu stupide est sans doute allé trop loin.
    
    — Tu dois laisser tout ça derrière toi, me susurre ma sœur à l’oreille.
    
    — Quoi ?
    
    — Camille, ce qu’elle a fait, ce n’est pas grave. C’est une nouvelle vie qui s’ouvre à toi !
    
    — Mais j’en veux pas de cette vie !
    
    De nouveau, elle place son doigt devant ses lèvres pour m’inciter au silence. Pendant ce temps, Paul s’est remis de ses émotions et poursuit son œuvre, sans aucune espèce de pitié pour moi.
    
    — Je suis sûr que ça t’excite d’imaginer que ton copain te regarde en train de le faire cocu, hein ?!
    
    — Oh oui ! ricane-t-elle de nouveau. Je voudrais qu’il voie la salope que je suis…
    
    — Tu voudrais qu’il me voie te baiser ?
    
    Sans lui laisser le temps de répondre, il l’attrape et la jette sur le lit. Elle se redresse et lui fait face, un sourire d’assentiment aux lèvres, mais il la retourne sans tendresse.
    
    — C’est pas toi qui décides, salope ! Je te baise quand je veux et comme je veux. Maintenant à quatre pattes !
    
    Encore une fois, Camille semble trop heureuse ...
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