1. G azon de la voisine


    Datte: 20/09/2019, Catégories: Anal Humour Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... étaient au niveau juste des yeux. Il ne tenait qu'à moi d'y porter la main. Je percevais la fraîcheur et senteur de sa chair. Elle se baissa pour arracher quelque fleur. Je vis son cul à moins d'un mètre. Le fil ténu du string m'offrait tout ce spectacle. Je songeais qu'outre le pauvre Pablo certains avaient œuvré dedans. J’escomptais appartenir bientôt à la cohorte des élus. Vers treize heures je vins lui signifier la fin de ma journée. Elle vernissait ses ongles de pied. Par jeu je lui proposais de lui faire cela. Elle rit et accepta.
    
    Elle m'abandonnât son pied chaud et mignon, partie intime chérie d'elle-même. Un moment il y eût un moment suspendu où le regard de l'un se lova dans celui de l'autre. Elle poussa mutinement son pied devenu sauvage contre mon genou. Je répondis faisant glissant la caresse de ma main jusqu'à sa cuisse tout dirigé vers sa culotte. Elle ferma les yeux. Je lui dis : »Tu aimes ? » Elle répondit : « Çà fait du bien. » Elle ajouta : « Déjeune ici. On partagera la salade de riz et un bon rosé. » Pouvais-je refuser ? Je me souviens. Elle était dans la cuisine à parfaire sa salade.»
    
    La radio émettait une musique idiote. J'étais en train de lui expliquer que dans deux jours tout serait fini quant au jardin. Elle me répondit : « Ah bon déjà ? » Je vins me coller tout contre elle et l'enlaçais. Elle sembla n'en marquer nulle surprise. Se laissa faire. Elle se retourna et m'embrassa simplement. Elle avait une langue habile. Celle-ci tourna autour de ...
    ... la mienne. Elle rit ponctuant cela de ces quelques mots. « Tu es un coquin. Tu ne perds pas de temps. » Le déjeuner fut hâtif et bâclé. Je n’avais de cesse de la caresser et de lui vouloir prendre la main. Elle minaudait.
    
    Elle mesurait ses effets, m'intimait à plus de patience. N'y tenant plus je la plaquais contre un mur et lui glissais la main dans la culotte. Elle avait la garce la chatte humide. Elle gémit. Peu après accroupie elle avait commencé à me branler puis me sucer. A ce moment le téléphone sonna. Elle s'écria : « Merde c'est mon mari. Seul cet imbécile passait par le fixe.» Nous étions interrompus comme à dessein par le maître et seigneur de la maison. Je la vis jouer devant moi la comédie de l'épouse esseulée. Elle n'en conservait pas moins ses cuisses ouvertes pour m'animer.
    
    Nous finîmes au pieu. J'eus voulu faire les cochonneries dans l'une des chambres d'amis. Elle tint à ce que nous baisâmes dans leur lit au prétexte que celui-ci était plus confortable et la pièce plus fraîche. Je crois plutôt que cette garce en était davantage excitée car perverse. Cela me faisait drôle de me rouler dans des draps où dormait mon pauvre ami Pablo. C'était une chaude, une vraie salope au pieu. Je songeais que si je n'avais proposé mes services elle eut de toute façon recouru à un autre. Bref il lui fallait son comptant de coups de bite. Je parvins à l'enculer facilement. Elle aimait çà.
    
    Outre que le jardin fut rapidement tondu et rafraîchi, je fus convoqué même les ...