1. G azon de la voisine


    Datte: 20/09/2019, Catégories: Anal Humour Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... ne pas entendre perdue dans sa rêverie. Elle tirait sur sa cigarette. Les volutes de fumée se perdaient dans le ciel. Elle avait croisé haut les cuisses. Je lui savais gré d'avoir adopté pour moi une de ses mini-jupes minimales qu'on lui goûtait dans le quartier. Elle portait des bas couleur- chair dont je distinguais à la naissance, la chair blanche de la cuisse. Ce simple détail me faisait bander. Je pense qu’elle n'espérait pas d'autres réactions. Elle était le genre de garce qui aime à inspirer cela en n'importe quel mâle. N’attendant point d'autres hommages à sa sensualité.
    
    J’avais quelque mal à soutenir la conversation et à écarter mon regard de ses cuisses. Elle assortit cela bientôt d'un jeu de balancier de l'escarpin au bout du pied. Je savais peu résister à ce genre de ballet auquel une femme peut s'adonner des fois distraitement. Là je pense qu'elle le fit sciemment. En son petit haut, une ouverture échancrée offrait ses seins. Toute cette chair semblait appeler secours et réclamait qu'un mâle vint secouer cela ou le retourner comme fait le soc d'une charrue dans la terre d'un champ. Outre de tondre je me voyais bien dans ce rôle de cette charrue.
    
    Nos regards se croisèrent à ce moment-là. Implicitement et à partir de là fut-il convenu que je m'occuperais du jardin et serait rémunéré en conséquence par madame. Tandis qu'elle me raccompagnait, j’observais qu'elle roulait davantage du cul juché sur ses mignons escarpins. Je ne pouvais que croire que c'était ...
    ... gagné pour moi. Je lui dis : « Tu sais, tu devrais prendre des vacances. Je te trouve si fatiguée. Il faut qu'on s'occupe de toi. » Elle sourit et répondit : « En attendant tu es là et tu vas t'occuper de moi. » On ne pouvait mieux dire. N'est-ce pas ?
    
    Je décidais de m'investir dès le lendemain. Pour couper court à toute polémique j'en informais au téléphone ma femme. Je dis que Pablo m’avait demandé d'aider sa femme à tondre la pelouse. Il était déprimé par la santé de sa mère et je n'avais cru devoir refuser. Ma femme répondit que j'avais bien fait et que cela me ferait au moins transpirer et perdre de ma bedaine. Avec la bénédiction de ma dame je ne pouvais plus surseoir. Je tins cependant à commencer aux aurores quand le soleil n'est pas encore chaud. L’autre garce crut devoir m’assister de loin allongée sur son transat.
    
    Le premier jour elle arbora une robe courte et légère sans des bas cette fois. Elle écartait des fois à propos ses cuisses tandis qu’elle parcourait un magazine. Sa culotte de loin paraissait mauve. A un moment elle m'invitât à goûter à l'orangeade fraîche qu’elle avait concocté. Accroupi peu loin d'elle je savourais l'exquise boisson. Elle écarta de nouveau les cuisses. J'eus comme un frémissement. Sa culotte était transparente. On y décelait une chatte lisse bien rasée émaillée cependant de quelques rares poils pubiens. Cette chatte m'était promise et dévolue. J'eus la queue endurcie.
    
    Ramassant plus tard l'herbe elle vint jusqu'à moi. Ses cuisses ...