1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Dépression (1/2)


    Datte: 13/03/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... dans le métro, je comprends que si je suis allée boire ce verre dans ce café, c’est la peur du trou noir qu’est le métro.
    
    Arrivée sur le quai un homme en complet veston attend son attaché caisse en main.
    
    Le métro arrive, à cette heure, il y a peu de monde, je m’assieds sur un strapontin et je regarde le plan.
    
    Six stations avant d’arriver dans mon quartier, l’homme prend le strapontin face à moi.
    
    Et là, l’impensable se produit, j’écarte mes jambes assez pour qu’il me voie.
    
    Mais pas assez pour que les rares personnes assises puissent profiter de mon entrejambe.
    
    Bien sûr je porte une petite culotte blanche, mais avec la mini que j’ai mise, il doit tout voir.
    
    Il semble se désintéresser jusqu’à la station suivante où il se lève et me glisse.
    
    • Suis-moi salope.
    
    Où sommes-nous, certainement pas six stations plus loin que celle où je viens de monter ?
    
    Nous retrouvons la lumière, je le suis sans me poser de question.
    
    À la sortie, une Sanisette, il glisse une pièce, comme un zombie, j’entre sans m’inquiéter que l’on me voie, il me suit, la porte se referme.
    
    • Suce salope.
    
    • Non, baisez-moi.
    
    Je soulève ma jupe et me plaque à la paroi métallique, cambrant les reins en écartant mes cuisses.
    
    Il faudrait que j’aie le courage de revenir à la raison, mais ce pieu que je vois sortir quand il fait tomber son pantalon, il me le faut.
    
    Il me plaque, se place en moi, je pars immédiatement.
    
    J’atteins un sommet jamais ressenti.
    
    C’est la deuxième ...
    ... verge en moi et quand nous éclatons tous les deux, son sexe me donnant ce que je suis venu chercher, du sexe sauvage, hard sans lendemain.
    
    Qu’est-ce que monsieur Roland a cassé en moi pour que pour me punir, je me donne comme cela dans les chiottes sur un trottoir de Paris à cet inconnu ?
    
    J’entends la porte s’ouvrir.
    
    Il disparaît, j’ai juste le temps de sortir sous le regard narquois d’une fleuriste sur le trottoir d’en face qui semble avoir tout vu.
    
    J’ai mal remonté ma culotte, mais suffisamment pour reprendre ma route.
    
    Un taxi passe, je lève ma main, il s’arrête.
    
    Je lui donne mon adresse, il rechigne, la course est courte.
    
    Quand je m’assieds, je sens le sperme de mon pourfendeur couler entre mes cuisses.
    
    Non seulement, il va percevoir une course peu rentable, mais en prime il va falloir qu’il nettoie son siège.
    
    Je sens qu’en plus du sperme, ma chatte est en feu et surtout ma petite excroissance que je voudrais caresser dans ce taxi, mon excitation imparfaitement assouvie.
    
    Je coule comme jamais.
    
    Je descends, je paye, je monte chez moi, je me déshabille, met tout au linge sale pendant que mon bain coule.
    
    J’entre dans l’eau chaude pour me laver de ce que je viens de faire.
    
    Pour la première fois, ce sont mes doigts qui tentent de me calmer.
    
    J’y arrive après une demi-heure de caresse et de pénétration de trois de mes doigts.
    
    J’ai le temps de réfléchir sur ce qui s’est passé, pourquoi ce comportement, mais quel immense plaisir, j’ai ...