1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Dépression (1/2)


    Datte: 13/03/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Depuis que j’ai accepté ce travail de secrétaire, je suis harcelée par mon supérieur hiérarchique.
    
    Tout a commencé par des compliments sur la qualité de mon travail.
    
    J’étais fière de plaire à ce petit homme tout rond, si bien considéré par les personnes au-dessus de lui.
    
    Je suis mariée, depuis cinq ans avec Lionel, nous n’avons pas encore d’enfant.
    
    J’aime mon mari à la folie, je suis fière d’être l’épouse d’un homme tellement beau et tellement intelligent.
    
    Cadre supérieur dans un ministère, je pourrais vivre sans travailler mais mon père m’a fait comprendre que le travail surtout pour une femme, était primordial.
    
    Il va sans dire, que je me suis donnée vierge à lui dans ma nuit de noces.
    
    Au 21ème siècle, et vu les vies dissolues de la plupart des jeunes filles de notre époque, cela peut paraître étrange.
    
    Eh oui, j’ai des principes.
    
    Oh ! bien sûr, je fais mon devoir conjugal avec applications.
    
    J’aime les jeux du sexe avec celui qui fait vibrer mon corps.
    
    Certes, loin de la première fois où mon dépucelage a été douloureux, mais très rapidement.
    
    La troisième ou la quatrième quand j’ai senti que j’étais vraiment devenue femme.
    
    J’ai trouvé mon travail grâce à ma copine Julie.
    
    Quand je l’ai annoncé à Lionel, il a semblé contrarié.
    
    Au sein de sa famille aucune des femmes ne travaillent.
    
    Elles sont de bonnes épouses au service du sexe mâle, tout juste bonnes à torcher les enfants.
    
    Après deux mois et aucun souci dans mon travail, ...
    ... monsieur Roland a commencé à changer.
    
    Au début, c’était de simple compliment sur mes tenues, pourtant en bonne chrétienne, je m’habile certes moderne, mais en somme très classique.
    
    Au fil des semaines, il est devenu plus précis, me demandant même un jour si j’aimais faire l’amour avec mon mari.
    
    J’aurais dû en parler à Lionel, mais je sentais que si je lui disais, il en profiterait pour me faire démissionner et rentrer dans le droit fil des femmes de sa famille.
    
    Un jour, alors que je me tenais à ses côtés pour lui ouvrir le classeur des signatures, monsieur Roland a laissé traîner sa main négligemment sur la fesse la plus proche de lui.
    
    Je suis devenue entièrement rouge, je suis sortie du bureau précipitamment, mais là encore, je me suis tue.
    
    Les rapports avec mon mari, sont devenus tendus, du moins espacés, cela me travaillait jusqu’au jour où j’ai fait une crise de larmes le soir à la maison.
    
    Lionel essayait de me consoler, mais plus il le faisait plus je pleurais.
    
    Il a fini par appeler le docteur Martin qui me soigne depuis des années.
    
    Il a diagnostiqué une dépression demandant un traitement pour ce genre de maladie.
    
    Il m’arrête pour un mois avec un traitement de cachets contre le stress.
    
    Je les prends régulièrement, mais avec des conséquences secondaires, je reste couchée devenant une sorte de salade verte, plus d’envies sexuelles.
    
    C’est là qu’un coup de grâce m’est porté, je découvre ce que toute femme redoute de la part de son époux, il a ...
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