1. Léa, notre chambre, nos histoires (1)


    Datte: 20/09/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Emilie 73, Source: Xstory

    ... top, puis s’affaira à retirer son soutien-gorge, puis, lentement, en attirant l’attention de Raphaël, baissa son string en dentelle. Elle était vraiment très belle. Ses seins bien ronds et fermes semblaient tenir Raphaël dans une érection sans fin.
    
    Elle enjamba Raphaël, ses jambes écartées surplombant le sexe tendu. Elle prit entre ses doigts cette bite bien décalottée, aux veines gonflées. Elle s’assit sur le ventre de Raphaël, face à moi, et plaqua le pénis contre son sexe parfaitement épilé. Lorsque dans un moment d’inattention, mon regard se leva vers elle, je compris que mon stratagème était éventé. Elle me fixait du regard, souriait de façon complice. J’avais manifestement le droit de regarder, j’enlevais les écouteurs et jetai au loin l’ordinateur.
    
    Après avoir prodigué un long massage au pénis de Raphaël, tout en se faisant mouiller en le faisant glisser entre ses grandes lèvres, elle se releva légèrement et guida la bite dans son sexe. Les lèvres s’écartèrent un peu, mais pas assez et elle dut frotter le gland contre sa vulve. Tout d’un coup, celui-ci disparut dans sa chatte. Un long mouvement de va-et-vient commença, régulier, déterminé, magnifique à regarder. Ils n’étaient même pas à deux mètres de moi, je sentais leur plaisir m’envahir.
    
    Les mains de Raphaël accompagnaient les hanches de Léa, et, souvent, lui caressaient le sexe. Il semblait aimer sentir, par tous les moyens possibles, le coulissement de son pénis. J’aurais bien touché aussi...
    
    Léa se ...
    ... retira et se releva, pour se mettre à quatre pattes sur le lit. Raphaël eut un temps de retard. En se levant, il remarqua enfin que je le regardais. Il était nu face à moi, avec une érection mémorable, et je sentis sa gêne de se retrouver ainsi. Moi je trouvais qu’il était plutôt à son avantage. Passé ce moment, il retournait à cette chatte qui l’appelait de toute sa beauté. Une fente bien nette, dont dépassaient timidement les petites lèvres, malgré tout le désir et les longues minutes de pénétration qu’elles venaient d’endurer avec plaisir.
    
    Raphaël se mit en position, tenant son sexe pour le guider, il pénétra Léa. Puis, lui agrippant les hanches, il se mit à la sauter frénétiquement. Léa ne gémissait plus, elle criait. Et moi, je mouillais, je sentais mon sexe partir dans une chaleur difficilement soutenable.
    
    La frénésie des mouvements de hanches de Raphaël atteint son paroxysme, avant de subitement s’arrêter dans un soupir... « Oh putain »... je vis son sexe, bien planté dans le vagin de Léa, se gonfler par saccade. Raphaël tremblait, ses mollets convulsaient. Il était en train d’éjaculer.
    
    Au bout de son plaisir, il revint à lui, se retira et s’allongea sur le lit. Léa, elle, se redressa et vint à ses côtés. Posée comme une impératrice romaine, ses jambes légèrement écartées laissaient sa vulve à ma vue, dont une goutte de sperme s’échappa et finit en tache ronde sur le dessus-de-lit. Le sexe de Raphaël était luisant de son propre sperme.
    
    Léa me regarda.
    
    — Tu ...