Léa, notre chambre, nos histoires (1)
Datte: 20/09/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Emilie 73, Source: Xstory
Léa, c’est la fille avec qui je partage ma chambre en cité universitaire. Elle est en deuxième année de la licence que je commence. On s’est trouvés colocataires par le hasard des listes d’attente, mais je dois dire que le hasard administratif a bien fait les choses. C’est une fille très fine, aux formes athlétiques. Petite, elle attire quand même beaucoup l’attention, et, j’imagine, le désir des hommes. D’ailleurs, elle ne se cache pas d’aimer le sexe. Une fois, elle m’avait demandé la faveur de lui laisser la chambre pour une heure ou deux, que j’ai passées dans la chambre voisine. Je peux vous dire qu’elle apprécie ce qu’on lui fait, à en juger par les cris de jouissance que les maigres parois ne pouvaient pas cacher. Nous en avions discuté plus tard, elle ne semblait pas gênée que l’étage ait pu avoir le bénéfice de ses vocalises orgasmiques.
Mes premiers partiels approchaient, et je passais du temps, sur mon lit, avec l’ordinateur sur les genoux, à regarder des cours en vidéo ou à relire mes notes. C’est ce que je faisais ce jour-là, quand elle entra dans notre chambre. Elle était accompagnée de Raphaël, un vague copain de première année. J’étais surprise qu’elle le connaisse, et encore plus qu’elle lui fasse visiter notre chambre.
Il vint me faire la bise, puis, pour préserver notre intimité à tous, je mettais mes écouteurs et me plongeais dans une vidéo d’un de nos profs sur l’économie vénézuélienne. Bien isolé des perturbations extérieures, mon esprit ...
... s’envolait en Amérique du Sud.
Alors que nous commencions à aborder le chavisme, je levais les yeux. La situation de leur côté avait bien évolué. Raphaël était debout, face à Léa, et elle, assise sur le lit, faisait des mouvements de la tête qui ne prêtaient pas à confusion. D’ailleurs, Raphaël penchait la tête en arrière, et avait ses mains dans les cheveux de Léa. Toute surprise de ce spectacle, j’étais partagée entre le désir de profiter de cette fellation, et la gêne de les regarder.
Je tentais un court instant de m’intéresser à la super-inflation qui ravagea le Vénézuéla, mais les mouvements de fesses de Raphaël, que son jean magnifiait à merveille, me convainquit de remettre à plus tard mon instruction économique. Je gardais les écouteurs, mais coupait le son, histoire d’être discrète.
Raphaël défit son jean, et laissa pour mon plaisir apparaître ses fesses. C’était un garçon que je savais timide, il était d’une constitution aussi frêle que Léa. Pas le plus attirant des garçons, un visage encore trop adolescent, mais un corps ferme, maigre et pourtant musclé, sans graisse, et peu de pilosité. Je prenais le temps d’admirer, et espérais que la suite des événements me permettrait de tout observer.
Puis subitement, Léa arrêta de le sucer, se redressa et le poussa sur le lit. Je fis immédiatement mine d’être absorbée par mes cours. Raphaël se redressa pour enlever son tee-shirt, pendant que Léa, consciencieusement, défit la ceinture de son jean, le baissa, enleva son crop ...