1. Retour à la villa. Le matin.


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, copains, vacances, plage, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Auteur: Bart, Source: Revebebe

    ... ?
    — Non, non, réagit vivement Sophie en me jetant un regard meurtrier, c’est juste que mon soutien-gorge s’est déchiré.
    — Tu as respiré trop fort ? dit Paul toujours joyeux.
    — Ah Ah ! C’est malin ! Non, figure-toi que c’est ton copain Marc qui m’a tellement bien sauté dessus qu’il me l’a déchiré…. C’est tout.
    — Non, ce n’est pas tout, dis-je…
    
    Sophie, toute rouge, m’implora du regard de ne pas évoquer nos ébats.
    
    — … je lui ai promis de lui en racheter un pour me faire pardonner.
    
    Soulagée, elle me regarda avec reconnaissance. Et pour éviter d’autres demandes d’explication :
    
    — Bon, qui m’accompagne au port ? Sophie et puis…
    — Moi, je veux bien dit Apolline, il faut aussi que je m’achète un maillot. Le mien date de deux ans et il est complètement démodé.
    — Moi aussi, je viens avec vous, mais…
    — Mais, dit Paul en coupant la parole à Jean, tu as l’opération Chloé !
    — Exactement, répliqua-t-il.
    — Nous, avec Marie, si ça ne vous ennuie pas, on va rester là, dit Paul. On va ranger la table et s’occuper de faire un peu de cuisine pour ce midi.
    — Et poursuivre vos expériences d’acclimatation, dit Jean pour se venger.
    
    Je coupai court à la répartie de Paul qui n’allait pas manquer.
    
    — Alors, c’est d’accord. Bon, les filles départ dans un quart d’heure, vous serez prêtes ?
    — Juste le temps de prendre une douche, et j’arrive, dit Sophie.
    — Je viens avec toi dit Apolline en se levant, je n’ai pas eu le temps de faire ma toilette.
    — Eh ! Ne soyez pas trop ...
    ... longues quand même, moi aussi je voudrais bien en prendre une, leur dis-je.
    — OK, on va faire vite dit Sophie, laisse-nous dix minutes et tu pourras y aller.
    
    Après avoir terminé mon petit déjeuner, alors que Paul, Jean et Marie s’occupaient du rangement, je montai à l’étage pour aller prendre ma douche.
    
    J’arrivai près de la salle de bain et j’entendis derrière la porte des rires et une discussion animée.
    
    — Bon, les filles, vous avez terminé ? Je peux entrer ?
    — Pas tout à fait, mais tu peux quand même entrer, répondit Sophie à travers la porte.
    
    Je poussai le battant et me trouvai devant les deux donzelles, en effet…. presque prêtes. Nous ne devions sûrement pas avoir la même définition du mot, car en rentrant dans la salle de bain, j’eus le temps d’abord de voir une Apolline en petite culotte, de trois quart dos, le côté frémissant d’un de ses seins, une courbure de reins d’enfer sans aucune marque de maillot prolongée par de petites fesses rebondies, qui semblaient elles aussi très bronzées car simplement recouvertes par une petite minuscule culotte transparente. Malheureusement, le Marcel qu’elle terminait d’enfiler cacha bien vite ces trésors à ma vue.
    
    — Bon, je vais finir de m’habiller dans la chambre. Ne soyez pas trop long, me dit-elle avec un clin d’œil en refermant la porte derrière elle.
    
    Mon regard se porta alors sur Sophie, entièrement nue devant le miroir, les bras levés en train de s’essuyer les cheveux avec une serviette. Elle se tourna légèrement ...
«12...456...»