1. Retour à la villa. Le matin.


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, copains, vacances, plage, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Auteur: Bart, Source: Revebebe

    ... festifs et de conquêtes féminines, que notre complicité était sans faille, d’autant plus que nous avions une même vision de la vie : la croquer par tous les bouts avec un minimum de contraintes. Pourtant depuis quelques mois, Paul s’était un peu assagi, sans doute à cause de Marie, sa petite copine.
    
    Marie, aussi blonde que Paul, tempérament de feu, grands yeux verts, visage triangulaire constellé de petites éphélides, elle avait des hanches étroites et de petits seins mignons à croquer, ronds et fermes, qui rendaient superflu tout soutien-gorge. Il ne fallait pourtant pas s’y fier. Son air avenant, sa bonne humeur communicative et sa gentillesse cachaient en fait un caractère très déterminé. Et c’était préférable avec Paul. Tous les deux semblaient inséparables, mais prétendaient à qui voulait les entendre, qu’ils étaient en même temps libres de leurs désirs. Peut-être une attitude de façade, mais pour l’instant, ils avaient l’air de très bien fonctionner de cette manière.
    
    Assis en face de Marie, Jean : Tignasse brune bouclée, yeux noisettes, il avait toujours l’air d’être sur une autre planète. Quand on connaissait ses talents de musicien et de peintre, on pouvait penser que c’était normal, vu que c’était un artiste. Bien qu’ayant tous les atouts pour plaire aux filles, sa timidité, sa naïveté et sa maladresse gaffeuse l’empêchaient d’avoir le succès qu’il aurait pu escompter. C’était entre autres, pour cette espèce de fragilité que Paul et moi l’aimions bien. Il ...
    ... était comme un petit frère qu’il faut protéger de ses bêtises.
    
    Enfin, Apolline. Je ne la connaissais pas très bien, mais c’était l’amie inséparable de Sophie et quand elle m’avait demandé si Apolline pouvait l’accompagner, je n’avais soulevé aucune objection. Au contraire même, les quelques fois où j’avais eu l’occasion de la rencontrer, elle m’avait fait forte impression.
    
    Pas très grande, elle avait des cheveux châtains aux reflets dorés, avec une frange qui lui tombait sur le front et une éternelle petite queue de cheval. Des yeux noisette en amande très lumineux, des pommettes hautes dans un visage ovale et un teint hâlé en permanence, rappelaient ses origines hispaniques. J’avais aussi pu voir que sa taille de guêpe, ne l’empêchait pas d’avoir une très belle poitrine et une croupe ronde des plus appétissantes. Mais ce qui la rendait craquante, c’était sa façon d’être toujours souriante et d’émettre un petit rire retenu, en rentant la tête dans ses épaules comme pour s’excuser.
    
    — Ah vous voilà quand même ! fusa la voix de Marie.
    — Où étiez-vous passés ? surenchérit Paul.
    — Je t’ai cherchée partout dit Apolline en s’adressant à Sophie.
    — Vous nous avez ramené des croissants ? émit Jean, plein d’espoir.
    — Rien de tout ça, leur dis-je. On est tout simplement allé se baigner pendant que vous ronfliez comme des marmottes.
    — Nous, on ne ronflait pas, protesta Paul. Avec Marie on était en train de se demander si un week-end-end au bord de mer et au soleil, avait un ...
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