1. Retour à la villa. Le matin.


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, copains, vacances, plage, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Auteur: Bart, Source: Revebebe

    ... impact sur notre libido.
    — Et vous en avez conclu… ? lui demandai-je.
    — Que l’impact sur la forme des garçons est négligeable, répondit Marie, ravie de mettre Paul en boîte.
    — Et sur les filles ? demandai-je.
    — Tu ne peux pas savoir… dit Paul à son tour avec un sourire narquois. Certaines sont complètement énervées. On dirait qu’elles sortent d’un couvent de bonnes sœurs qui n’ont pas vu un mâle depuis des années.
    — Marie est comme ça ? dis-je pour continuer dans le jeu de Paul.
    — Ah oui ! Quand elle est contente, elle est comme ça. Mais tu dois aussi y être pour quelque chose. Avant de venir, elle n’arrêtait pas de me dire que ça allait être un week-end extra, que tu es très chouette de nous inviter, que le printemps c’est beau, que tu es vraiment un pote… et blablabla et blablabla… dit Paul avec un clin d’œil, en caressant la joue de Marie du revers de la main.
    — Bon, tu as fini de te fiche de moi ? répondit-elle, en repoussant rageuse la main de Paul. J’ai bien le droit de dire que Marc est sympa !
    — Ah ! Tu vois, dit Paul hilare.
    
    Après être passés auprès de chacun pour les embrasser, Sophie et moi, nous nous sommes installés à table.
    
    — Bon je vois que l’ambiance est là et que vous avez trouvé de quoi faire le petit déj, dis-je… Ah ! Il n’y a déjà plus de café ?
    — Je vais aller en faire, dit Apolline immédiatement.
    — Je t’accompagne, répliqua Sophie en se levant aussi.
    
    Tant d’empressement me surprit. Je regardai Apolline, qui me fit son plus beau ...
    ... sourire, dévoilant de grandes dents blanches.
    
    — C’est normal qu’on te chouchoute, c’est ta fête quand même, dit-elle.
    — OK, je me laisse faire, puisque tu insistes…
    
    Elles se sont dirigées toutes les deux vers la cuisine, et je remarquai que tout en marchant, Sophie parlait avec animation à Apolline.
    
    La discussion allait bon train à table quand les filles sont revenues avec une cafetière fumante. Apolline, le visage fermé, posa le café devant moi un peu brusquement. Je levai les yeux un peu surpris par ce changement d’attitude et questionnai Sophie du regard. Elle baissa les yeux et se mit à rougir. Bon OK, j’avais compris, elle n’avait pas pu s’empêcher de raconter à sa meilleure amie, nos performances du matin. Mais pourquoi Apolline avait-elle l’air si contrariée ? Aurait-elle des vues sur moi ?
    
    Tout à coup le téléphone de Jean se mit à sonner, mettant fin à mes pensées :
    
    — Oui ?…. Ah c’est toi… Bonjour… Oui, je suis levé… Je suis en train de déjeuner… À quelle heure ?… Oui, bien sûr que je vais te chercher… Pas de problèmes. À tout à l’heure.
    
    Jean raccrocha visiblement ravi. Les discussions s’étaient tues et tous les regards tournés vers lui. Je lui demandai :
    
    — Quelqu’un doit arriver ?
    — Oui, tu m’avais dit qu’on pouvait inviter quelqu’un si on voulait !
    — Oui…. ?
    — Alors j’en ai parlé à Chloé, qui était ravie de venir.
    — Quoi ? Tu as invité Chloé ? dis-je catastrophé.
    — Ben oui. J’ai fait quelque chose de mal ?
    — Comment tu connais Chloé, toi ? ...
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