Vue imprenable.
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... mission de filmer. Comment rester maître de soi, dans ces moments-là ?
Marc qui accélère ses mouvements et qui se saisit des jambes, puis des mollets de Lise pour les dresser au ciel et en former un « V » majestueux. Un « V » dont la pointe est le centre de tout. De la bite qui maintenant s’active avec beaucoup plus de puissance, secouant le corps de la coquine qui se laisse baiser.
Coquine, qui se caresse les seins et son clito. Mais aussi, qui ne quitte plus Martine des yeux et, je veux le penser, à la bite qu’elle suce et engloutit, aux couilles qu’elle me caresse.
Et ma jouissance arrive. Elle attendait tapie dans l’ombre dès la première danse. Elle se préparait alors que mon cerveau ne faisait qu’envisager quelque scène érotique. Elle se déverse telle une source provençale que l’hiver pluvieux a réveillée.
Putain que c’est bon. Martine qui me garde en bouche, le gland scellé par des lèvres étanches, la main qui me branle doucement pour extraire, jet après jet, le jus de mes couilles. Mais aussi Lise qui regarde sans regarder, le regard vitreux, dans un autre monde, celui de sa propre jouissance. Il faut dire que Marc ne se retient plus depuis longtemps et que cela fait de longues minutes que ce n’est plus une jeunette qu’il baise, mais une femelle qui ne demande que cela, que de se faire labourer sans retenue, de se sentir cochonne, une pute qu’un mâle bien monté, possède.
Il y a des jouissances plus fortes que d’autres. Des moments dans une vie. Des ...
... situations particulières. Une excitation poussée à son paroxysme. Mais rien de comparable à ce que je ressens. L’extase de l’esprit. La jouissance de la chair.
Et Martine qui abandonne ma queue, un sourire aux lèvres closes, un regard qui transpire toute la perversité du monde. Une Martine qui se tourne vers ma copine. Une Martine qui se penche sur elle, sur son visage. Une Martine qui embrasse Lise.
Mon Dieu ! Que fait-elle ? Elle ne va pas ? Ce serait trop !
Mais si elle le fait. Elle embrasse à pleine bouche celle que son mari laboure. Lise ne peut refuser l’offrande. Sa bouche ne peut que recevoir mon foutre. C’est obscène, fort, dérangeant. Pourtant mon Amour, transportée dans un autre monde ne proteste pas.
Lorsque Martine se relève, des filets de sperme et de salive se tendent entre les lèvres.
— Putain, je viens. Je viens. C’est trop beau.
Marc ne se retient plus. Lui aussi doit déverser des flots de sperme. Mais c’est dans la vulve de ma copine. Ma copine qui vient d’être abreuvée de mon propre jus. Sa bouche entrouverte me laisse deviner des restes du festin. Des coulures aux commissures des lèvres sont des signatures qui ont bien la valeur d’un Picasso ou d’un Gauguin.
Il faut un long moment pour que Lise se reprenne. Je la tiens dans mes bras, couvrant son cou de baisers, attendant qu’elle revienne de cette petite mort. Je veux qu’elle sache que je suis avec elle et que l’expérience que nous venons de vivre est à nous deux. Elle me sourit enfin. ...