Vue imprenable.
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... jouissance avait immortalisée dans son esprit. Eh oui, son visage qui se détend, ses yeux qui se plissent et surtout, surtout, les lèvres qui s’entrouvrent pour laisser échapper un soupir.
Le souffle du bonheur. Un souffle qui s’arrête alors que le mandrin est au plus profond et que l’homme plaquant son pubis contre celui de la femme. Un homme qui commence ses mouvements du bassin.
— Tu es bien ? Je demande à mon Amour.
— Oui.
— Il est gros, plus gros que moi. Il ne te fait pas mal ?
Bien sûr que non il ne lui fait pas mal. Je le sais. Je l’ai déjà vu posséder ma copine avec autrement plus de puissance. Mais je veux entendre ma Douce me le dire. Je veux qu’elle me dise qu’elle aime. Que c’est bon.
— Non, non. C’est bon.
Voilà, c’est dit ! Cela peut paraître anodin, mais ces quelques mots ont une telle puissance érotique que ma queue déjà dressée semble vouloir déchirer mon pantalon.
Et cela ne risque pas de s’arrêter, car Marc commence son doux labeur. Il a certainement, comme Martine, conscience que c’est notre première fois et qu’il ne faut rien brusquer. Il bourre lentement Lise. Mon caméscope semble vivre sa propre vie.
Il filme longuement, la longue tige ressortir de la grotte humide et y replonger dans un mouvement d’une lenteur éprouvante. Le gland est magnifique, rose, pointe émoussée, mais au combien efficace alors qu’il repousse les chairs entraînant la hampe dans sa progression.
Lorsqu’il zoome le visage de la belle on peut y lire comme ...
... dans un livre ouvert. Mon esprit imagine déjà le montage où les deux "approches" sont projetées en parallèle.
La bite avance. On la voit disparaître dans la fente. Le visage s’anime, les lèvres soufflent, les yeux se plissent.
La bite se retire. Elle semble sans fin jusqu’à ce que le gland apparaisse. Le visage se fige, les lèvres se pincent, les yeux s’ouvrent. Chaque fois on devine l’angoisse que cela s’arrête.
Je suis concentré, en harmonie avec ce que vit le couple. Pourtant, je sens qu’on s’occupe de moi. Martine vient vers moi. Elle se charge de me déshabiller. Enfin, ma queue s’ébroue. Elle attire l’attention de Lise qui regarde mon mandrin si tendu qu’il se plaque contre mon ventre. Mais pas pour longtemps. Une bouche s’en empare. Martine me suce.
Lise regarde. Le spectacle est pour elle. Le plaisir est pour moi. Que peut-il y avoir de mieux dans la vie d’un couple qui s’aime. Partager. Offrir. Donner.
Martine s’applique. Elle sait y faire. Je connais son expérience. Ma bite disparaît dans sa gorge comme une sucette dont il ne reste que l’extrémité du bâton.
— Elle te suce bien.
Une question ? Une constatation ? Peu importe ! Ce qui compte c’est que ce soit Lise qui le dise.
— Oui. C’est bon. Et toi ?
— Divin.
C’est aussi cela l’amour. Chacun est heureux du bonheur de l’autre, du plaisir de l’autre, de la jouissance de l’autre. Surtout ! Oui surtout, c’est un étranger qui en est le messager.
Je pense que le professionnel a failli à sa ...