Béa, copie de sa mère
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Mic79, Source: Hds
... fait faire face à son corps, offert, demandant sa première pénétration qui allait faire d’elle une femme, et quand mon gland se pose à l’entrée de la grotte, déjà pleinement ouverte, c’est elle qui d’une poussée, s’enfonce ma tige ; un cri, quelques larmes de douleur, elle est enfin femme ; pour moi, plus de réserve, je m’enfonce doucement en elle, dilatant son conduit , prenant sa fleur avec voracité ; après un petit moment d’arrêt au fond de sa chatte, elle m’embrasse fougueusement et me dit » « je suis à toi, vas-y baise moi, fais-moi jouir comme maman quand elle est avec toi, ou comme maintenant où elle s’offre pour son plaisir, car c’est le cas n’est-ce pas ? »
Je n’ai pas envie de répondre mais je la comble, la possédant profondément, vigoureusement ; elle a déclencher mes envies et maintenant ce n’est plus qu’une femelle qui veut prendre du plaisir ; plaisir qui ne tarde pas à venir, tant pour elle , que pour moi ; et quand je me répands en elle, elle ne peut retenir sa jouissance et je dois l’embrasser pour contenir ses cris. Agrippée à mon torse, elle réclame « continue, j’ai encore envie de toi, » et bizarrement, je ne débande pas, sans doute leur mixture y est pour beaucoup, mais aussi l’envie de la satisfaire de la combler pour sa ...
... première baise. La retournant, je la positionne à genoux et sans frémir, je m’enfourne dans le conduit plein de semence ; elle émet un petit cri de surprise ou de plaisir, et quand je commence à la pilonner, elle ne retient pas ses gémissements ; elle a envie et elle le dit, m’encourageant à la défoncer ; à chaque poussée, mes couilles viennent frapper son pubis et se plaquant la figure sur la couche, elle glisse une main sous son ventre et vient enserrer mes bourses, les tirant , les triturant. Mon plaisir en est décuplé et mes coups de butoirs aussi et ce n’est que quand , avec une nouvelle jouissance , elle s’écrase sur la couche que je me repends en elle, déversant mes jets tout au fond d’elle.
Me retirant , je la laisse récupérer ; son souffle et court, mais se blottissant contre moi, elle dépose un doux baiser sur mes lèvres et me dit tu viens de m’offrir un doux moment de plaisir ; grâce à toi je suis femme, comblée, heureuse de t’appartenir. Je sais que cela ne fait que commencer, mais il faut me promettre que maintenant tu me feras l’amour, que tu me feras crier de bonheur comme tu le fais avec Mico » c’est la première fois qu’elle l’appelle par son prénom, et je m’apprête à lui répondre quand je m’aperçois qu’elle s’est endormie dans mes bras.