Béa, copie de sa mère
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Mic79, Source: Hds
... expliquer que tout le monde dormait dans la même pièce, ce qui ne parût pas la gêner. C’est alors qu’elle m’a demandé qui était l’homme qui m’avait engrossé et comment cela était arrivé. Pas d’autres solutions que de lui révéler une partie de la vérité, à savoir, que pour pouvoir travailler, j’avais dû appartenir, d’abord au chef, puis au marabout, lors d’une soirée d’initiation et qu’ensuite, ils avaient pu me prendre à leur volonté. Mais qu’à priori c’était très certainement le sorcier , son créateur. Difficile de lui dire qu’à chaque fois qu’il m’avait ensemencé, j’avais ressenti cette sensation qu’il me fécondait réellement Elle m’a regardé, puis regardant Phil, elle lui a demandé s’il était au courant, puis sans attendre elle nous a demandé « expliquez moi et sans cachoteries »
L’explication a été difficile, mais complète et après m’avoir embrasser, elle nous a dit :
« autrement dit, il va falloir que tu leur appartiennes, devant toute la tribut et nous si tu veux pouvoir travailler »
Devant notre confirmation, elle a ajouté « et moi, il en sera de même ? » devant notre hésitation, elle a ajouté « si j’ai bien compris, toute femme dans le village doit appartenir aux deux hommes si elle veut être des leurs . » Difficile de répondre, mais pour nous deux, cela ne faisait aucun doute. Et avec , en plus la sensation que c’est ce qu’elle souhait , faire partie de la tribut. La nuit fut agitée, tant pour moi, avec les souvenirs qui remontaient, me donnant envie de ...
... sexe, que pour Béa qui devait se posait des questions et si j’en crois son activité sous le tissu qui la recouvrait, ses envies devaient rejoindre les miennes.
Dès le matin , je confirmais au guide, mon intention de me plier aux coutumes, selon leur bon vouloir.
****phil
Le soir même, une cérémonie est organisée, et ma femme , d’abord entre les mains d’une jeune femme et après avoir bu leur potion est amenée au centre de la place du village où comme la première fois , une couche a été aménagée en demi hauteur. Et devant nous, en présence de Béa à mes côtés, elle va se faire prendre, sans ménagement d’abord par le jeune et vigoureux chef, monté d’une queue de belle facture, puis par le marabout. Toutes les possessions sont de véritables saillies, faites par deux dominateurs, sùr de leur puissance, sùr de posséder la femme qui n’arrête pas de jouir sous les coups de butoirs ; je ne sais si elle ressent les mêmes sensations que les autres fois, mais elle se donne les cuisses écartelées, possédée par deux fougueux amants ; d’où nous sommes nous percevons sans difficulté ses cris de jouissance. Béa les yeux fixés sur sa mère, a pris ma main et je vois que la seconde main est plantée entre ses cuisses. Alors que le marabout possède sa mère plusieurs fois, elle me regarde et me dis :
« Cela t’excite de voir maman se faire prendre ainsi ?» j’aurai du mal à dire le contraire car je bande depuis le début et alors honnêtement je le reconnais, avouant qu’à chaque voyage, il en a ...