1. Le bonheur malgré tout


    Datte: 17/09/2019, Catégories: fh, amour, Oral pénétratio, mélo, amourdram, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... lui a rendu la politesse, absorbant le sexe dressé au maximum. Toutefois, en femme expérimentée, elle a évité une conclusion trop rapide. Quand elle s’est sentie prête, elle l’a ramené en position et a guidé sa cadence. C’était le paradis. Bien que sa maîtresse lui tienne la tête à deux mains il a eu l’impression qu’on lui caressait les couilles et le cul. Quand elle lui a laissé la bride sur le cou, il a accéléré et s’est répandu à nouveau en elle.
    
    Se dégageant en se retournant, il a vu une autre fille qui se marrait.
    
    — Il a un gentil petit cul, mais je n’ai pas pu y mettre le doigt dedans, il bougeait trop. C’est un puceau ?
    — Oui, il est tout neuf.
    — Alors tu me le prêtes.
    — Volontiers, il faut tout lui apprendre !
    
    Et ainsi, en deux jours il a acquis ce que d’autres mettent des mois à connaître. Il est vrai qu’à deux femmes expérimentées et entreprenantes, elles lui ont enseigné tout ce que doit savoir un homme. Il est revenu épuisé, mais heureux, rejoindre ses amis.
    
    À la rentrée, avec Francine, ils ont poursuivi leurs études pour obtenir leur BTS. Éric pensait que du moment que tous deux étaient majeurs, il allait pouvoir conclure l’éducation de sa copine, maintenant qu’il était compétent. Mais elle a refusé catégoriquement de passer à l’acte, lui permettant seulement de faire une connaissance complète de son corps. Elle a même consenti un soir où il était trop excité et prêt à la forcer, à le soulager manuellement. Et c’est devenu une habitude.
    
    Un ...
    ... jour, Roland, un copain les a invités à son anniversaire. C’était au mois de mai. Comme à l’ordinaire, chacun apportait quelque chose. Mais le père de Francine n’a pas voulu qu’elle participe, craignant des dérapages dus à l’alcool. Éric y est donc allé seul, avec une bouteille de vodka.
    
    L’après-midi a été formidable, l’alcool coulant abondamment. À un moment, Jacques lui a tendu une cigarette, de celles qu’il avait apportées. La forme était bizarre. Éric n’avait jamais fumé, non par crainte de maladie, mais tout simplement parce qu’avec Francine ils avaient pris cette décision. Pour une fois, loin d’elle, il a cédé. Le goût était surprenant, mais après quelques bouffées il s’est senti merveilleusement bien. Et un moment après, il a accepté avec plaisir de renouveler son geste. Il a quitté la soirée à sept heures, Francine l’attendait derrière le gymnase.
    
    Dès qu’ils se sont retrouvés, ils se sont embrassés. Mais Francine l’a repoussé avec horreur :
    
    — Tu as fumé ? On avait dit qu’on ne le ferait pas. Et ce n’est pas du tabac, mais du haschisch ! Fous le camp, je ne veux plus te voir ! Je ne veux pas d’un drogué !
    — Mais je ne savais pas que c’était de la drogue, excuse-moi.
    — Non, je ne te le pardonne pas.
    
    Après beaucoup de supplications et surtout la promesse de ne plus jamais y toucher, elle a accepté de le revoir le lendemain. Mais pour ce soir, ce serait abstinence.
    
    Ils se sont retrouvés le lendemain. Mais Francine est restée quelques jours, réservée. Enfin, ...
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