1. Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (6)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... comprends bien, tout cela au lieu de te dégoûter, t’excite à mort... tu en veux plus ?
    
    — Heu... oui... (Rodolphe baissait la tête comme un enfant pris en faute).
    
    — Mustapha, emmène-moi à ta tournante !
    
    — En voiture Simone. Ouah, j’en connais qui vont être contents.
    
    Après 20 minutes de conduite, la voiture arriva enfin dans les quartiers dits "sensibles" de la ville voisine. Rodolphe sentait sa gorge se serrer, il avait la trouille ; cet environnement urbain ne lui était pas du tout familier. Il repensait avec angoisse à toutes les histoires, les faits divers plus ou moins terribles, qui se déroulaient dans ces endroits "mal famés". En tout cas, dans son esprit de bourgeois déconnecté des classes populaires, c’est comme ça qu’il voyait les choses.
    
    La voiture se faufila sur un parking devant une grande barre d’immeuble, des dizaines de voitures avec des jeunes qui discutaient par petits groupes, semblaient attendre quelque chose. Quand Mustapha donna un coup de klaxon, et qu’en réponse, une clameur lui répondit, Rodolphe comprit avec horreur que tous ces jeunes, des dizaines, attendaient la voiture... ou plutôt sa femme. Terrifié, il comprit que Mustapha n’avait pas menti : la nouvelle d’une bourgeoise qui venait dans la cité, pour y être baisée, de son plein gré, avait bien été diffusée dans les quartiers.
    
    Tous ces jeunes gens étaient là pour profiter des charmes de sa femme. Avec beaucoup d’appréhension, il interpella son épouse :
    
    — Corinne, tu ne vas ...
    ... pas y aller ? Regarde, il y a au moins une centaine d’hommes qui t’attendent pour te baiser. C’est pas possible ! Tu ne peux pas faire ça !
    
    — Et alors, il faut bien payer ta dette, mon amour ? Je te rappelle que nous sommes ici à cause de tes conneries ! De plus, je t’ai demandé si tu voulais en voir plus, si tu voulais que je m’enfonce un peu plus dans la dépravation... et tu m’as répondu oui ! Il faudrait être un peu cohérent à la fin !
    
    — Mais... mais c’est pas possible... tu imagines ce que tu vas subir ?
    
    — Un gang bang et alors ? Ce sera une nouvelle expérience pour tous les deux ! De plus je peux arrêter quand je veux, tu me le certifies Mustafa ?
    
    — Oui Madame, sur mon honneur et par Allah ! Je suis un des caïds de la banlieue, et tout le monde me respecte et m’obéit ; il ne tient qu’à toi... et à ton mari. J’ai ici un portable, on peut appeler "l’Homme", pour lui dire que tu es prêt à payer ta dette... alors ? "
    
    Rodolphe, comme à son habitude baissa la tête et ne pipa mots. Sa lâcheté proverbiale se faisait encore sentir comme à son habitude ! Sa femme le regarda avec mépris, et sortit de la voiture. A peine sur le parking, elle se débarrassa de son déshabillé qui était encore ouvert... et c’est totalement nue qu’elle se dirigea vers la barre d’immeubles, sous les hourras et les cris de joie des hommes de l’assistance.
    
    Furieuse et triomphante à la fois, telle une déesse des temps barbares, elle jeta un regard en arrière et appela son mari:
    
    — Rodolphe, ...