1. Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (6)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Corinne Levasseur prenait son pied... cela ne faisait aucun doute. Le déshabillé noir complètement ouvert, les seins aux pointes turgescentes, les cuisses toutes grandes ouvertes, laissant apparaître son pubis glabre, son sexe largement ouvert et déjà brillant de cyprine, elle ne cessait de gémir et soupirer d’aise !
    
    Rodolphe eut un haut-le-cœur de voir son épouse nue et si "décontractée", à l’arrière d’une voiture peuplée d’inconnus. La tête renversée en arrière, les yeux clos, les deux mains sur les sexes en érection de ses deux voisins, elle se faisait peloter avec allégresse.
    
    Le mari pas encore tout à fait cocu, du moins avec ces deux hommes-là, ne pouvait quitter le tableau érotique qui s’offrait à son regard. Il était comme liquéfié, paralysé...
    
    Tout se bousculait dans sa tête. Sa dette d’argent, son honneur bafoué, la confiance rompue par la conduite de son épouse. Et en même temps une excitation morbide, salace, qui le prenait du fond de son être. Il ne pouvait s’empêcher de regarder. Un type normal aurait sauté à la gueule des deux sbires qui s’occupaient de son épouse... mais pas lui.
    
    Et ce qu’il n’aurait jamais cru possible était arrivé sous ses yeux : sa femme se faisait tripoter, nue, par deux types, au terme d’un chantage dont il était le fautif, elle se pliait avec luxure aux caresses des deux hommes, allant jusqu’à les masturber... et lui, il prenait du plaisir à cela. Il sentit une excitation le saisir de tous les atomes de son être. Son sexe ...
    ... était en érection comme jamais. S’il ne s’était pas retenu, il aurait sorti sa bite et se serait paluché comme un gamin. Les mots pornographiques lui venaient à l’esprit comme ça, sans retenue. Des mots qu’il n’employait jamais, mais qui, ici, semblaient coller avec "art", à la situation qu’il vivait !
    
    Et Rodolphe regardait, regardait, la tête tournée vers la banquette arrière, sa femme jouir des assauts des deux hommes. Corinne se faisait embrasser par Salim, à sa droite, le jeune qui était venu la chercher chez eux. Il lui caressait, tripotait, triturait, pinçait ses deux seins. Abdel, le type sur sa gauche, était comme hypnotisé par la chatte de la jolie bourgeoise. Une main caressait l’intérieur de la cuisse, tandis que l’autre, les doigts rassemblés en une posture d’attaque, venaient ramoner et limer le sexe aux muqueuses entrouvertes et humides. A chaque geste de la main, Corinne exhalait une plainte de jouissance. Elle avait l’impression d’étouffer entre la langue de Salim, qui lui investissait la bouche avec gourmandise, et la jouissance que lui donnait Abdel avec sa main. A chaque fois, elle tentait de reprendre son souffle entre deux baisers baveux et généreux. Ses deux mains glissaient sur les deux phallus des hommes. Ces derniers lui avaient fait, peu avant, déboutonner leurs braguettes, et sortir leurs mandrins puissants et pleins de sève.
    
    Et Corine adorait ça: être la proie sexuelle des deux hommes, leur objet de plaisir, pendant un trajet en voiture. Elle ...
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