1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Je ramasse (9/1)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... bien.
    
    Mon frère, même si c’est un pourri, sait y faire avec les femmes qu’il prend sous sa coupe.
    
    Mets-toi à quatre pattes que je te sodomise.
    
    En femme soumise, je perds l’habitude de contester les dire de ces messieurs, je me mets à quatre pattes lui présentant mon cul rond, pas trop gros mais bien ferme.
    
    C’est à ce moment que j’entends la porte du tube s’ouvrir.
    
    • Alors frérot, que penses-tu de ma salope ?
    
    • J’allais l’enculer, mais j’y pense, pour sceller un pacte de paix entre nous deux, je te propose de réitérer la première fois où nous nous sommes dépucelés.
    
    • Avec Rosa ?
    
    • Oui, avec Rosa, la jeune garde d’enfant que les voisins faisaient venir pour garder leurs gosses.
    
    • Tout juste, on l’avait repérée et chacun était persuadé d’être l’homme de sa vie.
    
    • Quand on s’est aperçu qu’il nous serait impossible de savoir qui serait le premier à la coucher, nous avons convenu de la prendre en même temps.
    
    • Ce coup si, on inverse.
    
    • D’accord, on inverse.
    
    Mon Maître s’allonge à mes côtés, sur le matelas, je vois sa bite, elle est déjà en pleine forme.
    
    • Viens t’empaler par la chatte, Jacques va te prendre le cul.
    
    Tu as compris, avec Rosa, nous avons perdu notre pucelage en la prenant en double pénétration, c’est moi qui l’avais sodomisée.
    
    Qui n’a pas senti deux verges pilonner ses deux trous comme ils me pilonnent n'a jamais rien ressenti de telle.
    
    C'est fabuleux !
    
    N’oublions pas qu’ils sont montés comme des taureaux.
    
    Si ...
    ... sous les coups de ceinture, j’ai fermé ma bouche, sous la charge de ces deux rostes, je jouis tellement que je dois ameuter tout le marché, je n’ai jamais rien ressenti de telle.
    
    Quelle chance a eu Rosa de rencontrer deux êtres de cette pointure, et dire que c’était leur dépucelage.
    
    Au moment où ces deux verges se déversent en moi, je dois tourner de l'œil ayant eu une jouissance trop forte.
    
    Combien de temps suis-je restée dans les pommes ?
    
    Un certain temps, car ayant perdu la notion du temps, me souvenant m’être fait ballotter à droite et à gauche, je reprends pied, je suis dans ma cage.
    
    Un besoin naturel m’oblige à bouger, j’ai mal à la chatte et à l’anus, les deux frères m’ont littéralement défoncé, heureusement que j’ai mon coin toilettes.
    
    Je me replace en chien de fusil, le temps du marché a été tellement intense que je me rendors.
    
    C’est l’alarme qui me réveille, par chance, je suis déjà dans la cage.
    
    Si c’est un intrus, je suis protégée, quelques minutes et la porte s’ouvre.
    
    • Simone, je n’en crois pas mes yeux, merde, que fais tu dans cette position ?
    
    • J’étais venu te dire que je te quittais et je te trouve enfermée.
    
    Quand je suis parti à ta recherche, après m’être fait glisser le long de la paroi m’empêchant de remonter, je m’étais assis.
    
    Je me demandais si j’avais bien fait, quant au-dessus de ma tête, j’ai entendu que l’on me parlait.
    
    J’ai levé la tête, une belle blonde d’une quarantaine d'années était penchée me regardant, je ...