1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Je ramasse (9/1)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
    
    C’est au marché que Maître Albert, me donne, non, m'offre à son frère, pour rattraper l’erreur que j’ai faite en lui donnant la boîte de six œufs, pensant bien faire, en lui offrant les plus gros.
    
    Il s’avère que ces œufs étaient placés dans les nids pour que les poules prennent l’habitude de venir pondre évitant qu’ils soient dispersés partout.
    
    Ils étaient pourris.
    
    Jacques, le frère de mon Maître, pensait qu’il m’avait donné l’ordre de l’empoisonner.
    
    Pour lui prouver que les intentions d'Albert étaient pures et que c'est moi qui me suis trompée, j'accepte ma "punition".
    
    Je monte rejoindre le matelas dans l'arrière du camion où je sais que sur l’un des murs une cravache m’attend.
    
    La tôle est criblée de trous, ça me permet de voir assez clair pour comprendre ce qui va m’arriver.
    
    • Monsieur Jacques, je vous en supplie, je croyais bien faire, je vous ai donné ceux qui étaient les plus gros.
    
    • Enlève tes vêtements de pute.
    
    Je me retrouve nue en quelques instants, je veux essayer d’éviter ses représailles.
    
    Il me regarde avec ses yeux vicieux, fixant mes mamelles de femme mure, mon petit ventre, mes mollets et cuisses, sans oublier bien sûr mon sexe glabre qui mouille.
    
    • Les œufs, je m’en contrefiche, pour une fois c’est moi qui ai l'avantage sur mon frère, depuis tout petit je subis ses frasques, j’y ai perdu ma femme et ma fille. Ma ...
    ... femme, je vais la voir, mais elle ne me reconnaît pas, quant à ma fille, je suis souvent devant sa boutique, j’ai vu défiler une à une les filles qu’elle tatouait avec sa copine.
    
    Tu te rends compte, c’est une gouine, ma fille est une suceuse de chattes, j’étais là quand tu es rentrée et en es ressortie avec tes tenues de salopes.
    
    Les salopes, c’est comme cela que je les traite !
    
    À partir de là, c’est avec son ceinturon qu’il me flagelle.
    
    J’essaye de parer les coups, la première salve s’abat sur mes bras et mes épaules. J’essaye de me protéger du mieux que je peux, me retournant même, présentant mon dos et mon fessier.
    
    Je serre les dents, Maître Albert n’aura pas le plaisir de m’entendre crier, je suis sûre qu’à l’extérieur il attend de m’entendre l’implorer de demander à son frère d’arrêter.
    
    Son bras fatigue, les derniers coups sont presque des caresses, je tourne la tête, son pantalon est au bas de ses pieds, sa queue est identique à celle de mon Maître.
    
    • Suce salope, j’ai vu que tu aimais t’exhiber, tu présentais tes seins à tous les hommes qui en redemandaient, tu mériterais que je te foute dehors, tu montrerais ton cul intégralement.
    
    Je préfère sucer sa bite, avec les mêmes problèmes qu’avec mon Maître.
    
    Mais dans mon for intérieur, j’aimerais qu’il mette sa menace à exécution car me promener nue sur ce marché ce serait phénoménal pour moi et si excitant.
    
    Je comprends pourquoi à la ferme, j’ai le plaisir de vivre nue.
    
    • Tu suces divinement ...
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