1. AU BORD DU LAC 2/8


    Datte: 14/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... plus grande amplitude, ressortant presque de sa cavité à chaque recul, et replongeant puissamment , d’un trait, m’aidant de mes mains cramponnées à ses hanches.
    
    « Oui ! encore !, encore ! plus fort ! enfonce encore ! «
    
    ses cris résonnaient dans la crique silencieuse.
    
    « Plus vite ! Encore, plus ! ahhh, baise moi bien ! »
    
    J’accélérais et ses cris s’intensifièrent. Je la ramonais comme un métronome détraqué qui va de plus en plus vite.
    
    Elle haletait , maintenant . Il n’y avait plus de mots, plus de paroles, juste les éructations entrecoupées de cris.
    
    « Hmmmmmm ! Oui ! Rhaaaaa ! han, han han han han ! Ahhh ! »
    
    Je sentais ses muscles internes se crisper sur ma verge. Son sexe coulait , et la mouille dégoulinait le long de ses jambes. Son cul accompagnait le balancement de mon bassin, et ses cuisses et ses fesses vibraient à la fréquence de cet accouplement bestial.
    
    La frénésie fut ralentie d’un coup, et elle plaqua son cul contre moi, jetant les deux mains en arrière pour me plaquer en elle, son corps plié en avant, plaqué sur le rocher.
    
    « Ouiiii !!!, JE VIENS !!!!! Ahh, c’est bon ! Rhaaaa ! Ahhh ! »
    
    Une longue plainte accompagna sa jouissance. Heureusement, nous n’avions pas à craindre de voisins.
    
    Après un temps d’arrêt, je repris mon va-et vient, n’ayant pas encore joui. Ayant senti mon membre encore érigé en elle, elle reprit sa position, mais j’avais déjà une autre idée en tête.
    
    Passant ma main entre ses jambes, je recueillis sa sève, ...
    ... et vint en barbouiller son anus, petit trou étoilé qui me faisait de l’œil depuis tout à l’heure.
    
    Quand j’entrepris d’y introduire un doigt, elle eut un mouvement de recul, mais il passa la barrière de son sphincter, lui arrachant une légère plainte, sans pour autant interrompre le coït. J’entrepris de ramoner ses deux orifices sur le même tempo, pendant un temps, avant d’ajouter un second doigt. Le passage était déjà détendu, et notre baise continua ainsi, mes doigt élargissant son anus qui s’assouplissait. Quand je ressortis de sa chatte pour orienter mon gourdin, un peu plus haut, elle me pria :
    
    « Doucement, je nel’ai jamais fait, de ce côté »
    
    Je présentai mon gland à l’entrée de son cul, et poussai. L’endroit était étroit, et bien que prodigieusement excité et dur, je ne progressai que par millimêtres.
    
    « Aiiie ! Ahhh ! Noooon ! »
    
    Elle poussait des hurlements, mais quand je voulus me retirer
    
    « Non, Aiie ! Reste, ça va aller. »
    
    Je continuai donc, et mon gland franchit la barrière. Je continuai d’avancer petit à petit, jusqu’à ce que mon bassin collé à son cul, je ne puisse aller plus avant
    
    Les cris cessèrent mais je l’entendais souffler fortement
    
    « Vas y maintenant, » murmura t’elle enfin, »tu peux bouger. »
    
    Je balançai alors , coulissant dans son étroit fourreau. Les cris reprirent, mais se transformèrent assez vite en gémissements, qui n’étaient pas de douleur.
    
    Ses hanches se débloquèrent et elle se remit à bouger d’avant en arrière, ...