AU BORD DU LAC 2/8
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... était déserte. Elle manoeuvra habilement pour approcher l’embarcation d’une bouée qui flottait à la surface, sans doute celle d’un pêcheur. Et descendit les voiles. Je tentais de ranger tant bien que mal, le foc, de mon côté. La baume s’était abattue au milieu du bateau, la toile masquant Sylvie. Elle apparut, nue, à l’avant du bateau et plongea. Elle nagea un peu et se retourna, m’interpelant :
« Allez viens, elle est bonne ! »
Je quittai mon maillot et plongeai à sa suite. Elle avait la nage fluide et élégante de ceux qui ont passé beaucoup de temps dans l’eau. Le fond de la crique était fait de roches, qu’on devinait à plusieurs mêtres de profondeur. L’eau était transparent , et je suivais ma coéquipière, dont les fesses blanches, tranchaient par rapport à sa peau brune, au point que, de loin, on pouvait croire qu’elle portait un slip clair..
Elle se redressa dans l’eau quand elle eut pied et attendit que je la rejoigne. Elle s’approcha de moi, et vint saisir ma queue,détendue par l’eau fraiche. Sans dire un mot, elle commença à m’astiquer, ses yeux verts plantés dans les miens. Dès que j’eus repris une consistance suffisante, elle s’accrocha à mon cou, et m’enserra de ses jambes, me guidant d’une main pour que je la pénètre. Dès qu’elle me sentit entrer en elle, elle serra ses jambes et avança son bassin pour que je m’emboite au plus profond d’elle. Puis elle entama un balancement d’avant en arrière, qui produisait un petit clapot entre nos corps, en poussant de ...
... petites plaintes, et me griffant le dos, comme un petit animal sauvage. Elle prit rapidement son plaisir dans un jappement, et s’éloigna dans une éclaboussure. Elle revint vers moi et me prit par la main, m’entrainant vers la rive. Elle marchait devant moi, et s’arrêtaquand j’eus de l’eau, à mi-cuisses. Elle s’assit dans l’eau, glissa ses jambes entre les miennes , et vint emboucher ma queue, dans une pipe, sans grande nuance, sa bouche coulissant sur mon membre avec une régularité de métronome, essayant d’aller de plus en plus loin, d’engouffrer le plus possible de moi, son nez venant agacer mon pubis. Je me laissais aller à cette fellation énergique, les bourses raffraichies par les vaguelettes. Elle se dégagea d’un coup, me faisant tomber, le cul dans l’eau, et se releva pour partir vers la berge. Je la suivais de près. Elle courut sur la plage, en riant, vers de grands rochers plats. Quand elle les atteignit, elle me fit face, et, quand je fus près de la rattraper, elle se retourna, appuyant ses mains sur la roche, les jambes tendues, légèrement écartées, le dos cambré, les fesses tendues vers moi, offerte.
Je ne pouvais ignorer une telle invitation. Je présentais ma queue à l’entrée de sa chatte, et pesai de tout mon poids, l’investissant d’un coup, poussant jusqu’à ce que mon bassin vienne taper sur ses fesses.
« Ahhh ! »lacha t’elle, « je te sens bien. Vas y maintenant ! »
J’entrepris un mouvement de balancier, d’avant en arrière, en m’appliquant à donner la ...