1. AU BORD DU LAC 2/8


    Datte: 14/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... se laisser tomber sur ce pieu turgescent , donnant le signal d’une cavalcade qui ne s’arrêta qu’avec notre jouissance combinée.
    
    Je pris Ingrid dans mes bras, et elle vint coller ses fesses contre mon ventre, dans la position de la petite cuillère. Nous étions tourné vers l’autre couple qui n’avait pas encore rendu les armes. Terry, était à plat ventre sur le matelas, les reins relevés par plusieurs coussins, et Eric exerçait en elle un coulissement de ses doigts, qui la faisait gémir. Puis il vint se placer derrière elle, et poussant franchement, déclencha un cri de douleur. Je compris qu’il était en train de la sodomiser, mais les cris de terry ne l’arrêtèrent pas, et petit à petit, pendant qu’elle couinait, il continuait sa progression.
    
    A ce moment, une voix surgit tout près de la tente :
    
    « Got verdommer ! ijk net vind jet ………………… ! »
    
    Les deux filles se figèrent. Je reconnus la voix de Jimmy, mais je sentais que ce n’était pas le moment de me faire reconnaître. Subitement, il se tut, et nous entendîmes ses pas s’éloigner.
    
    « Il n’est pas content du tout. Trop de bruit, trop de chahut » chuchota Ingrid « Il dit qu’il va se plaindre aux parents de Terry. Il les connaît bien. »
    
    Je tentai de la rassurer.
    
    « Demain, il aura oublié. C’est les vacances. »
    
    Pendant ce temps, Eric, une main sur la bouche de Terry, s’était mis à la pistonner vigoureusement, étouffant ses plaintes de douleur, qui progressivement se transformèrent en gémissements de ...
    ... plaisir.
    
    Ingrid et moi, nous caressions doucement en nous tenant cois. Seul le claquement régulier d’Eric venant tamponner le cul de Terry, résonnait dans le petit espace, jusqu’à ce qu’il explose dans son conduit avec un soupir d’aise, juste après qu’elle eut pris son pied, en haletant comme une chienne assoiffée.
    
    Il commenta bientôt :
    
    « c’est pas de ma faute, elle ne veut pas baiser, mais elle a un cul de reine. »
    
    Je traduisis pour Ingrid, qui pouffa, et me dit
    
    « Elle réserve sa virginité pour son mari, mais elle adore jouir par son cul. »
    
    « demain je serais absent, toute la journée »me confia Eric « avec mes parents, on va voir une tante, qui crèche dans les parages. »
    
    « aH, Comment je vais faire, tout seul ? »
    
    « Je te fais confiance, tu trouveras bien de quoi t’occuper, et puis, je serais de retour le soir. »
    
    Le lendemain, j’étais debout de bonne heure. Pas assez tôt pour mon père, déjà parti à la pêche, mais trop pour les vacanciers qui faisaient la grasse matinée. J’allais piquer une tête dans le lac, et réveillé par sa fraicheur vivifiante, après un rapide passage douche, enfilai un bermuda et un T-shirt , et rasé de près, me rendis à l’auberge où, Océane entamait sa journée. Les clients étaient rares de si bonne heure, et elle prit le temps de boire un café avec moi.
    
    « alors, on ne te voit pas souvent, » me reprocha t’elle
    
    « c’est ta faute. Je n’ose plus venir pour te voir, alors que tu ne veux pas de moi. Je ne vais pas jouer à l’amoureux transi, et ...
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