Avec ascenseur
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
piscine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... relier la voix et la femme. En toute rigueur c’est encore une belle femme. On devine ses rondeurs. Sa robe lui souligne les hanches et les fesses. On devine même la trace de sa culotte qui semble plus tenir du string que de la culotte de grand-mère. Quant à sa poitrine, lorsqu’elle se penche pour me servir le haut des deux lobes semble encore ferme.
Il me faut peu d’imagination pour la voir, appuyée sur la table là-bas, la croupe indécente, recevoir les claques de son mari alors qu’il la possède avec une vigueur de mâle vexé dans son honneur.
— Cela fait du bien, dit-elle alors qu’elle vient de s’envoyer en deux gorgées, le contenu de son verre rempli de Chartreuse.
Un long silence pendant qu’elle me regarde déguster la poire du mari.
— En réalité, je sais pourquoi je me confie à toi.
— Ah !
— Toi et Lise, vous m’êtes très sympathiques. Comme à mon mari d’ailleurs. C’est lui qui vous a sélectionné parmi tous les candidats. « Gentil petit couple », il m’avait dit. C’est vrai.
— Merci.
— Tu sais qu’avant, l’étage ne comportait qu’un appartement ?
Sa remarque me paraît totalement décalée.
— Non.
— C’est nous qui avons fait faire les travaux. C’était bien fait, mais on n’a pas été assez vigilant sur un détail. Certaines cloisons ne sont pas assez épaisses. En particulier celle qui sépare notre chambre avec la vôtre.
— Ah !
— Le couple avant vous ne cessait de se disputer. On a été content qu’ils déménagent. On s’était juré de mieux sélectionner nos ...
... locataires. Et avec vous, c’est beaucoup mieux.
Soudain, j’ai l’impression de comprendre.
— Vous voulez dire que l’on peut entendre d’une chambre à l’autre.
— Oui. Mais rassure-toi, seulement si on élève la voix.
— Mais moi, je n’ai jamais rien remarqué.
— Nous faisons attention de ne pas vous déranger.
« Tu sais bien que dans la chambre… », elle avait dit à son mari hier. Je comprends maintenant.
— Vous nous entendez…
— Un peu, oui. Manifestement tu es un bon amant. Lise semble apprécier. Et aussi quelle vigueur ! Ah, la jeunesse !
— C’est gênant. Je n’oserai plus.
— Si tu veux, nous ferons doubler la cloison. Mais ce serait dommage.
— Ce serait dommage ?
— Mais oui, dommage pour toi et Lise. Savoir que quelqu’un peut vous entendre est un parfait aphrodisiaque.
— Je ne sais pas.
— Mais si, c’est ce que j’avais commencé à t’expliquer. Marc et moi avons utilisé des artifices pour pimenter notre vie. Nous avons eu chacun de notre côté, des aventures. Nous le savions et crois-moi de savoir que son conjoint trouve ailleurs son plaisir te donne des ailes pour le conserver. Et je ne parle pas de ce que cela apporte sexuellement lorsque nous étions ensemble. Tout le monde s’étonnait de notre complicité, des liens de tendresse qui nous unissaient. Crois-moi la compétition t’oblige a toujours être au top avec ton conjoint. Tu verras plus tard…
— Je ne sais pas.
— Bien sûr. Vous êtes jeunes. Tu verras. Et puis à la retraite, alors que nous nous sommes retrouvés juste ...